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Bonsoir Stefi. Ce que vous décrivez me rappelle ce qu’ vécu mon fils dès le CP (il est maintenant en 6ème).et après en CE2: en CP, son excellent instit a décelé un blocage envers l’écriture et proposé des cours de soutien en écriture avec le RASED. il en a eu pendant plusieurs mois et cela s’est amélioré. hélas à la rentrée du CE2 il est tombé sur une enseignante à “l’ancienne” qui l’a de suite puni et privé de nombreuses récrés pour lui faire faire de l’écriture en plus, vu qu’il écrivait mal et ne terminait pas ses travaux écrits. Bref, après avoir rencontré la psychologue scolaire (je vous le conseille), on a découvert qu’il faisait de la dysgraphie. Il a donc eu un bilan et des séances de re-médiation avec une graphothérapeute. Du coup, l’enseignante a été obligée de reconnaître sa “bévue”, et d’adapter les leçons en conséquence: plus de temps pour l’écrit, moins d’écrit, des dictées à trous, des photocopies, etc..Cette dysgraphie est liée à sa précocité, et c’est assez mal connu. après encore de multiples démarches, cette année au collège mon fils a obtenu le droit d’utiliser un ordinateur portable en cours, pour prendre ses notes, etc..Les psychologues scolaires sont habilitées pour faire les tests de précocité et c’est..gratuit..et elles travaillent en équipe avec les enseignants. J’espère vous avoir un peu éclairée.