Aller au contenu

coduris

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 11 mois et 3 semaines

    Vivre le haut potentiel en famille, le témoignage d'une maman. Isabelle est maman de 5 enfants tous identifiés à haut potentiel. Nous vous proposons d’écouter son témoignage audio publié dans le maga […]

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 11 mois et 3 semaines

    Haut potentiel, n'en faisons pas toute une montagne ! A force de précautions, nous l’avons presque tous constaté et le déplorons, l’aménagement de la scolarité des enfants à haut potentiel devie […]

    • Je suis très heureuse de vous lire et je voudrais témoigner que, oui, avec un simple accompagnement bienveillant, une écoute, une confiance mutuelle et un partenariat pour la réussite de l’élève, mon fils fait des miracles tant scolaire que comportementalement.

      • Merci Nelly pour ce commentaire qui nous conforte dans l’idée que la compréhension prime.
        Si vous le souhaitez vous pouvez nous donner des exemples de ce qui a permis d’améliorer son comportement.

    • Bonjour Cathy,

      Je pense qu’il faudra prêter une grande attention à ce que votre petit fils exprime, soit directement, soit indirectement (retrait, rêverie, agitation…) Son bien être, indépendamment du travail, peut aussi dépendre de la façon dont l’enseignant mène son cours et de sa relation avec lui ou les autres.
      Soyez simplement attentive et prête à ouvrir la discussion en cas de besoin.

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an

    Le haut potentiel en bande dessinée Nous avons découvert avec plaisir la sortie récente de deux bandes dessinées, différentes dans leur approche, consacrées au haut pote […]

    • Val78 a répondu il y a 1 an

      Bonjour, Je confirme que la BD Comme un oiseau dans un bocal est top ! Simple, efficace, au graphisme épuré, elle s’adresse à tous. Sa force : elle met en exergue que quelque soit nos caractéristiques, que l’on soit HPI ou non, nous pouvons vivre ensemble et associer nos forces.

      • Val78 a répondu il y a 1 an

        Oh, je vois une belle faute dans mon commentaire… “quelles que soient” et non “quelque soit”… voilà ce qui arrive quand on va trop vite au réveil ;-). Toutes mes excuses !

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an

    L'accompagnement scolaire de l'enfant à haut potentiel Le haut potentiel intellectuel, un gage de réussite scolaire ? Au premier abord nous sommes évidemment tentés de dire oui, mais l’ […]

    • Melodie a répondu il y a 1 an

      Tres bon article, entièrement d accord,
      je retiens particulièrement la phrase Et parfois un clin d’oeil suffit.

      Cordialement,
      Elodie

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an

    L'identification du haut potentiel, un levier pour agir, durant l'enfance comme à l'âge adulte. Cette fameuse identification demeure souvent crainte ou reste décriée comme une étiquette dont on ne pourrait se dépareiller. Nous la per […]

    • megcelis a répondu il y a 1 an

      Bonjour Françoise
      J’ai jamais fait de testes pour mon HPI.
      Je sais que je suis car mes enfants ont étés les 3 testés HPI+ multidys et TDA ou TDAH.
      J’ai été identifié comme autiste Asperger à l’Université jean Jaurès à Toulouse., mais c’était à la sortie du confinement je supportais pas de porter une masque et j’ai abandonné mes études. J’ai la RQTH par mon TDA et dyspraxie sévère mais je voudrais me faire tester car je me sens extrêmement inadaptée a cette monde qui me semble de plus en plus absurde. J’ai prononcé mes premières mots vers l’âge de 5 mois et j’ai appris à lire à 18 mois.
      Je n’ai pas de mémoire pour les chiffres et j’ ai de mal a reconnaître les visages, mais je suis empathique en extrême.
      Est ce que vous aurez une piste pour moi ?
      Bien cordialement
      Maria
      Je suis désolée pour l’orthographe le français est ma troisième langue.

    • Françoise a répondu il y a 1 an

      Bonjour Maria,

      Je ne peux me positionner à votre place mais la question est à mon sens de savoir quel serait le but d’un test pour vous,? Reprendre des études ? Faire confirmer ou infirmer les tests de TDA ou autisme ?
      Si vous souhaitez le faire, avec un TDA plus Dyspraxie qui compliquent un peu les choses, le plus efficace serait certainement de prendre un avis auprès d’un neuropsychologue.
      Aucun problème pourl’orthographe au contraire ! Bravo !

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 1 mois

    Très haut potentiel et autisme, une frontière floue Plus le temps passe, plus les témoignages s’accumulent, plus certaines affirmations deviennent discutables et plus nos certitudes […]

    • Bonjour,
      Je suis presque heureuse de lire ce type d’article. Coincidence ou non, en observant ce week-end mes enfants qui sont HPI, je trouvais certains de leurs comportements s’approchant de l’autisme. Plus ou moins intense certe mais les comportements sont bien là. Je suis persuadée que la diversité individuelle de chacun ajoute à la difficulté de diagnostic.
      Est-ce vraiment important? Le plus crucial n’est-il pas de savoir s’adapter aux besoins specifiques de nos enfants pour leur permettre de devenir des adultes épanouis.
      Bonne journée.

    • Etant psychologue spécialisée en TSA, pour moi, l’autisme et le HPI sont deux choses parfaitement différentes déjà parce que le premier est un handicap. L’autisme (difficultés perceptives et non sensorielles, traitement de l’information particulier qui peut amener un isolement notamment, part de génétique) et HPI (isolement par manque d’intérêts communs, sentiment de différence,…) ne se présentent pas de la même façon. Tout comme on peut s’isoler en raison d’une dépression ou d’une faible estime de soi et on ne rentrera pas dans la catégorie autisme ou HPI.
      Combien de personnes se pensent HPI en voyant la série sur TF1 ? ou autiste en voyant la série sur un docteur avec autisme ? il serait aussi intéressant de se pencher sur ce phénomène qui explique qu’on se trouve toujours des points communs avec un profil décrit.
      J’ai vu des parents dont l’enfant a été “diagnostiqué” à tort autiste parce qu’il s’isolait, “diagnostic” fait par des psychomotriciens ou des professeurs des écoles. Diagnostic reposant sur aucune évaluation valable, juste “ça fait penser à…”. Or il existe des tests d’évaluation pour le diagnostic de l’autisme.
      J’ai vu aussi une mère dont l’enfant a été considéré comme HPI par une psychomotricienne…parce qu’il n’arrivait pas à suivre à l’école…
      De plus, l’autisme de haut niveau ne se caractérise pas par un QI plus élevé que la moyenne de la population mais par un meilleur traitement de l’information comparé à l’autisme “classique”. Il n’a pas de retard dans l’apparition du langage mais le langage n’arrive pas précocement

    • Merci à tous pour vos commentaires qui nous montrent bien à quel point il est complexe de comprendre ce qui se joue derrière certains comportements et d’obtenir un diagnostic juste.
      Cela peut semble inutile pour les uns ou les autres de chercher à obtenir une “étiquette”, mais c’est hélas la seule façon sûre de bine comprendre les enfants et de les accompagner dans leur développement avec leurs forces et faiblesses.
      Je crois aussi que les différences portent sur les raisons de l’isolement et les raisons et l’intensité des passions/obsessions. J’ai par contre aussi entendu dire, par un professionnel, que les difficultés sensorielles étaient attachées à des caractéristiques autistiques ??::: Peut être y a t-il aussi une gradation à faire selon leur intensité et la façon dont elles s’avèrent envahissantes dans la vie de tous les jours ???
      Enfin le flou persiste peut être aussi par abus de langage parce qu’effectivement comme le souligne Gwendo, tout le monde peut se retrouver derrière des descriptions si celles-ci ne sont pas étayées par des bilans. Je pense personnellement qu’ils aident les enfants à aller mieux et que les parents sont mieux à même de les comprendre et d’accepter des comportements qui sortent du lot lorsque leur origine est comprise.
      L, pouvez-vous nous dire comment se traduit le TSA léger de votre enfant et comment vous faites la distinction avec certaines singularités liées au THPI?

    • Merci beaucoup L pour ce témoignage qui permet d’y voir plus clair.
      Je partage votre point de vue sur l’importance du diagnostic, quel qu’il soit.

    • Elo7 a répondu il y a 1 an

      Je suis d’accord avec vous

    • Biche a répondu il y a 1 an

      Bonsoir, merci pour cet article et le courage de parler du TSA et du HPI.
      Je vous suis depuis 4 ans environs, vos articles m’ont aidés pour comprendre certaines choses et puis j’aime bien vos sélections de livres.
      Pour mon fils, qui a aujourd’hui 11ans, le diagnostique TSA est tombé il y a quelques mois et j’ai été en colère, car j’avais l’impression d’avoir lu beaucoup de chose sur le HPI, tous les livres que je pouvais quand le résultat du WISC est tombé vers 7/8 ans et jamais (ou alors je n’ai pas relevé ou voulu relevé) je n’ai vu des paragraphes sur TSA et HPI.
      J’ai même laissé tomber certains auteurs, car je trouvais l’étude sur le “HPI” un peu trop fataliste/édulcorée/avec des mots bateaux types horoscope. Puis ce n’est pas une Pathologie.
      Du coté de mon fils c’est bien les habilités sociales qui pêchent, et l’arrivée au collège est une étape plus compliquée.
      Bizarrement je trouve beaucoup moins de livres sur le TSA et les trucs et astuces,
      Il faut dire qu’il y a autant d’autismes que d’autistes, dur de faire des généralités avec tous les troubles qui peuvent s’y associer ou non.
      Continuez à creuser le sujet; c’est peut-être qu’une partie des HPI c’est peut-être moins vendeur mais c’est une réalité! Sortez du bois!

    • Françoise a répondu il y a 1 an

      Merci Ravel.
      Oui j’ai écrit cet article pour solliciter des témoignages car en effet il n’est pas facile, dans ces cas précis, de faire la part des choses et parfois même les professionnels entretiennent la confusion.
      Pour les enfants THPI, à mon avis, le sujet des habilités sociales est crucial et il convient de distinguer une forme d’solement ou de manque de communication, volontaires ou non, liés au décalage réel qu’ils vivent avec leurs pairs (soit avec leurs relations obligatoires, dans le cadre scolaire en particulier), et leurs capacités d’adaptation lorsque leur environnement leur est favorable. Ce n’est pas simple car ils passent une grande partie de leur temps et de leur enfance d’ailleurs, dans des cadres contraints à l’intérieur desquels ils ne parviennent pas forcément à s’extérioriser.
      Je pense ne pas être confrontée au TSA à travers mes enfants mais j’ai tantôt eu des doutes. Je pense et espère que les explications de Isa Lise, L et Gwendo sur le caractère répétitif , stéréotypé et permanent de certains actions pourront aider les parents qui doutent à se poser les bonnes questions.

    • Claire a répondu il y a 1 an

      Bonjour,
      Je partage avec vous un exemple très précis qui m’a fait questionner plusieurs fois, en effet, sur des caractéristiques potentiellement communes aux personnes HPI et aux personnes autistes. Mes 2 enfants ont été diagnostiqués HPI. En ce qui concerne l’alimentation, aucun des deux ne supporte le mélange des aliments. Comme les autistes, ils veulent manger “compartimenté”, et haché menu de préférence ! Si dans l’assiette, le jus de la tomate a touché un millimètre du morceau de viande, c’est le drame, la crise ! Ma fille, particulièrement, veut toujours manger avec les mêmes couverts, la même assiette, le même bol, … Elle mange en très petite quantité et passe un temps fou à analyser ce qu’il y a sur la fourchette avant de mettre en bouche. Ces caractéristiques correspondent aux personnes autistes me semble-t-il. En revanche, je ne perçois chez mes enfants aucune autre caractéristique qui pourrait faire penser à un trouble autistique et ils n’ont d’ailleurs pas été diagnostiqués en ce sens. Connaissez-vous d’autres personnes HPI qui ont ces mêmes exigences par rapport à l’alimentation ?

      • Françoise a répondu il y a 1 an

        Bonjour,

        Oui j’ai eu le même type de comportement alimentaire avec mes enfants, c’est passé avec le temps. Je pense que cela vient d’une sensibilité plus forte aux goûts, odeurs, textures… qui va sans doute de pair avec le reste.
        Quel âge ont les vôtres ?

        • Claire a répondu il y a 1 an

          Bonjour,

          et merci de votre réponse. Mon fils a 15 ans et ma fille a 19 ans.
          Merci aussi d’avoir soulevé ce sujet des troubles associés chez les HPI ou THPI, merci aux témoignages des uns et des autres qui me permettent de creuser et de faire avancer ma réflexion. En effet, depuis quelques jours, je me questionne … Ma fille n’aurait-elle pas finalement un trouble associé ??? Au-delà de ses difficultés relationnelles, de ses rituels et obsessions (comme se couper les pointes des cheveux pendant de longues heures) mais qui ne l’empêchent pas néanmoins d’avoir une vie sociale plus ou moins normale, elle souffre de beaucoup de maux physiques depuis toujours: troubles musculo-squelettiques (elle a été opérée d’une scoliose en janvier dernier), problèmes aux hanches, fatigue perpétuelle malgré des examens sanguins “normaux”, problèmes intestinaux (elle a subi son premier lavement à l’âge d’un an), … Je me questionne finalement sur un éventuel TSA … ??? Ouh là, ça bouillonne dans ma tête … Serais-je passée à côté de ça ??!!

          • Françoise a répondu il y a 1 an

            Bonjour,

            Alors, pour les troubles alimentaires, c’est passé chez mes enfants vers l’âge de 9-10 ans. En fait il nous a fallu le temps de la réflexion et quelques lectures sur l’hypersensibilité pour comprendre les choses et relativiser.
            Quand je lis votre dernier message, plus qu’un TSA j’ai l’impression d’une forme de “malaise” ou de “quête” de la part de votre fille qui se cherche et provoquerait des symptômes dits idiopathiques. Les tocs en font partie, la scoliose dans certains cas…
            La piste de réflexion que je vous propose serait de comprendre dans quelle mesure son haut potentiel est quelque chose dont elle s’est emparée pour l’exprimer d’une façon ou d’une autre, qui lui fait du bien, ou de savoir si ça reste un élément un peu extérieur à elle, dont elle ne sait que faire (ou comment l’utiliser) qui la distingue ou l’écarte des autres, d’où maux divers ?
            En fait il n’est pas simple de vivre avec cette particularité sans aide car les sources d’expression favorables ne se trouvent pas facilement dans le cadre scolaire ni dans les activités sociales’ou culturelles proposées aux adolescents. Il leur revient alors de chercher par eux mêmes ce qui les stimule, les fait vibrer à hauteur de leurs besoins pour se sentir bien.
            Je peux me tromper mais j’ai l’impression que c’est ça qui mine votre fille, non ?

        • Claire a répondu il y a 1 an

          Bonjour,

          Et merci de votre réponse. Ma fille a 19 ans et mon fils 15. A quel âge ces comportements se sont-ils atténués chez vos enfants ?

    • Claire a répondu il y a 12 mois

      Bonjour,
      C’est très possible, je ne sais pas … C’est elle qui sait mieux que moi ce qu’elle ressent et quelles stratégies elle a mises en place, pour autant qu’elle en ait conscience. Je vous rejoins sur le problème du cadre scolaire … c’est très dommage, on le sait … Elle a été identifiée HPI à l’âge de 17 ans seulement, c’est récent. En quelque sorte, elle a dû “se débrouiller” seule avec sa particularité durant toute son enfance et une partie de son adolescence.
      Merci en tout cas, ça ouvre des pistes. Je vais me renseigner sur les symptômes idiopathiques dont vous parlez.
      Merci encore pour ces échanges !

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 1 mois

    Le haut potentiel intellectuel, une réalité toujours dérangeante Dérangeante et confuse, puisqu’il faut faire face à l’afflux d’informations et aux interprétations diverses et variées que l’on en don […]

    • Merci pour votre article . J ai une montagne face à moi( psycho motricienne, psy, et école) qui désapprouve le fait que je face le test à mon fils de 6ans. Il vient de rentrer en CP et c est à lui de s adapter au système. Voilà la réponse que j ai reçu. Mon fils doit rentrer dans les cases. Se taire en classe, arrêter de poser des questions, s asseoir correctement..Au bout de 2 jours il est passé du 1er rang au dernier rang. Il refuse d écrire par peur de l échec. Que me conseillez vous?

      • Bonjour,

        Un professionnel compétent est censé évaluer le bien fondé d’une demande de test suite à un entretien préalable. Il peut estimer que la passation du test ne vous apportera pas de solution par rapport à la problématique qui vous pousse à consulter. Mais dans ce cas il faudrait qu’on vous donne des explications ou d’autres recommandations. Vous pouvez aussi prendre un autre avis auprès d’un autre professionnel. S’il y a refus d’écriture, des séances auprès d’un graphothérapeute pourraient vous aider. De votre côté vous pouvez l’aider à travailler la main en faisant des activités manuelles, dessin, bricolage, pâte à modeler, cuisine… et lui dire aussi qu’il va à l’école pour apprendre et a par conséquent le droit de se tromper, rectifier…. Prenez aussi du bon matériel, papiers et crayons de bonne qualité qui glissent.

      • Bonjour, je suis Graphothérapeute-rééducateur de l’écriture. J’accompagne des élèves à haut potentiel pour les réconcilier avec leur écriture.

    • Bonjour Aude,

      Le haut potentiel ne semble pas être une cause nationale en France et sa détection reste malheureusement souvent aléatoire, au hasard des rencontres favorables que l’on peut faire, professionnels compris. Le test de QI reste l’outil de base le plus sûr, complété en cas de besoin par d’autres batteries de tests.
      J’ai l’impression que le Québec prend les choses plus à cœur et aune longueur d’avance sur nous.

    • Bonjour Laetitia,

      Vous avez tout à fait raison, d’autant plus que la plupart du temps (si l’on n’a pas laissé “pourrir” une situation trop longtemps) les enfants adorent passer les tests qu’ils prennent pour du jeu. Mon aîné en était ressorti super heureux, comme revivifié car il avait passé un excellent moment !

    • Je complète concernant l’autisme : je vous recommande la,lecture de ce livre, témoignage d’un autiste asperger qui explique bien sa réalité : https://www.algofae.com/produit/9791033913290-bienvenue-dans-mon-monde-moi-paul-autiste-asperger/
      Vous pourriez ou non y reconnaître votre enfant.

      J’espère que cela vous aidera un peu…

    • Bonjour Florence,

      La question est délicate et à vrai dire j’aurais du mal à affirmer quoi que ce soit car selon les cas il y a des fortes similitudes sxur certains aspects.
      Nous avions posté un article visant à donner quelques éclairages ici : https://www.enfantsprecoces.info/autisme-et-haut-potentiel-quel-lien/
      Pour ma part j’ai l’impression que la différence se situe sur la capacité à être en relation avec les autres, et donc à s’en préoccuper. Après, je le constate avec mes enfants, en cas de très haut potentiel les centres d’intérêts peuvent différer considérablement avec les enfants du même âge et donc la relation peut être négativement impactée, tendance à l’isolement…, sans que l’autisme n’en soit à l’origine. Je prends un exp simple : ma fille s’isole beaucoup en classe lors des recréations car estime n’avoir pas grand chose à dire, mais si vous lui proposez un jeu de société en groupe, quel que soit l’âge des participants, elle sera super à l’aise et participera activement.
      Ce qui compte je dirais si vous passez des tests avec votre enfant est de savoir à quelle problématique vous souhaitez obtenir une réponse : enfant qui s’ennuie, enfant agité, solitaire….De la même façon que l’autisme, le tdah peut être confondu avec des manifestations d’ennui en cas de hp.
      Le test de QI, en fonction de s’il est homogène ou hétérogène, est déjà un premier indicateur.
      En réfléchissant à ce qui vous amène à consulter, vous aurez peut être un premier élément de réponse ?

    • D’un vieux zebre de 48 ans mes enfants ne passeront jamais ce fichu test foi de moi même leur vie n’en a pas besoin Dieu merci et eux savent comme moi qu’il n’aurait jamais fallu que je le sache car pour moi il est synonyme d’échec de vie. J’ai tout perdu depuis que je le sais alors qu’on nous vendu cela comme une illusion de retour à soi ou tout autre gabegie new âge. La vérité c’est que nous somme tous différents mais une chose nous rapproche inexorablement les uns des autres c’est le péché. Réflection du jour. Pour sûr je veux un monde meilleur mais ça aussi c’est ça une illusion. Faites attention à vos enfants. Cette société est malsaine à bien des égards. Surveillez vos zèbrillons, j’ai entendu des témoignages abominables d’expérience de vie douloureuses à cause précisément de cette fichue naïveté. Moi je suis devenu un homme qu’on taxe avant même que je le vois. J’ai plus un flèche mais c’est à moi qu’on le demande.

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 4 mois

    Découverte tardive du haut potentiel : la remise en question de toute une vie Nombre de parents se découvrent des caractéristiques fortes communes à leurs enfants à haut potentiel. Lorsque celles-ci deviennent une réa […]

    • Bonjour,

      En fait je pense qu’à travers le test on ne cherche pas un titre ni un chiffre, mais à comprendre un écart par rapport à la norme et donc pour les enfants par rapport au groupe dans lequel ils sont censés évoluer. Cet écart peut se manifester de différentes façons : apprentissages facilités ou non, troubles divers associés ou non, difficultés d’intégration dans le groupe… Le test est un outil qui permet d’expliquer ce décalage et de s’en accommoder. Ma fille par exemple a du mal à interagir avec les enfants de sa classe. Nous savons que selon le contexte sa “sociabilité” pourra s’exprimer plus ou moins favorablement, et cela fait une grosse différence.
      Le tout est de savoir ce qu’on cherche à comprendre à travers le test (besoins, décalages, difficultés; sensibilté forte…) pour vivre au mieux avec les caractéristiques qui accompagnent chaque individu. J’en ai 4, et tous différents malgré ce point commun qui les lie dans leurs activités.

  • Bonjour,

    Personnellement, ce qui nous a motivés, au delà du fait que les enfants étaient en demande, c’était le décalage vécu par rapport aux autres.
    Ce décalage était visible dans la façon d’être des enfants, dans leurs besoins, leurs connaissances et moi, mamam, je le ressentais aussi en compagnie des autres mamans en discutant de l’éveil,…En afficher davantage

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 4 mois

    Des aménagements scolaires spécifiques pour les élèves à haut potentiel, par Professeur O. Pour la nouvelle édition de notre plaquette “Identifier et accompagner l’élève à haut potentiel intellectuel”, nous avons obtenu la gén […]

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 5 mois

    L'isolement de l'enfant à haut potentiel En complément de notre article sur l’ennui de l’enfant à haut potentiel, nous publions cette semaine un témoignage très fort sur le déc […]

    • Bonjour,

      Vous vous méprenez sur nos intentions.
      Nous venons de lire et valider vos commentaires, car comme tout le monde nous ne travaillons pas 24h sur 24.
      Libre à vous de penser ce que vous voulez, par contre j’au l’impression que vous gagneriez à travailler sur une forme de colère, surtout lorsque celle-ci se tourne contre des personnes qui agissent et témoignent de leur vécu en toute bonne foi.

    • Bonjour,

      Vous vous méprenez sur nos intentions.
      Nous venons de lire et valider vos commentaires, car comme tout le monde nous ne travaillons pas 24h sur 24.
      Libre à vous de penser ce que vous voulez, par contre j’au l’impression que vous gagneriez à travailler sur une forme de colère, surtout lorsque celle-ci se tourne contre des personnes qui agissent et témoignent de leur vécu en toute bonne foi.

    • Certains le sont, excellents élèves même, trop bons pour un système éducatif qui ne parvient pas à les suivre.

    • Bonjour, tout me parle dans cet article; pour mon fils de 14 ans et pour moi, qui ai vécu tout cela étant jeune. Je ne suis pas diagnostiquée mais j’aurai dû le faire et peut-être que je le ferai car le fait que mon fils soit HP, cela me renvoie des choses et je comprends certains événements de ma vie. Trouver sa place, la grande question de ce monde…
      Merci pour votre article.
      CC

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 5 mois

    Haut potentiel : l'identification peut-elle révéler notre vraie personnalité ? A travers la découverte du haut potentiel de leurs enfants, de nombreux parents se posent la question de leur propre singularité et finissent p […]

  • Bonjour,

    Je pense que le plus efficace serait de consulter un neuropsychologue pour un bilan complet, surtout si des difficultés graphiques s’ajoutent à un éventuel haut potentiel.
    Pour des recommandations fiables, vous pouvez poster votre message sur votre groupe régional sur le site : https://www.enfantsprecoces.info/groupes/
    ps : soyez att…En afficher davantage

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 5 mois

    Répondre aux besoins de l'enfant à haut potentiel grâce à l'identification Dans cette vidéo publiée sur RTC Télé Liège pour le magazine Vit@l, Ludivine Monseur, neuropsychologue, répond à diverses questions sur le hau […]

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 5 mois

    Les enfants à haut potentiel passionnés Ce mois-ci, dans son article intitulé “Le désir de certains enfants de tout connaître d’un sujet”, Arielle Adda se penche sur ces enfants qu […]

    • Bonjour Brinon,

      Merci pour votre commentaire et votre enthousiasme !
      Je suis plutôt d’accord avec vous et ne perçois pas non plus la quête de connaissances comme un comportement symptomatique mais à l’inverse comme le besoin de satisfaire une curiosité insatiable qu’ile st parfois difficile de partager avec autrui.
      Votre vison me plaît beaucoup, merci !

  • Françoise a écrit un nouvel article il y a 1 an et 5 mois

    L'ennui de l'enfant à haut potentiel intellectuel Beaucoup de lectures et d’approches concernant l’enfant à haut potentiel sont centrées sur les éventuelles difficultés qu’il pourrait man […]

    • Finalement, je crois qu’on retrouve exactement cette même forme.d’znnuie dans le monde professionnel tard. Si on ne sait pas adapter et challenger le HP, il s’ennuiera et perdra tout goût à son activité.

    • Bonjour,
      Je suis maman d’un ado de 14 ans.
      En 5e, il a été “diagnostiqué” HPI. Ce qui nous a permis de mieux comprendre son comportement, sa façon d’être et de penser.
      Depuis la 6e, c’était devenu un fardeau pour lui d’aller au collège car il ne voyait pas d’intérêt à ce qu’on lui enseignait. En 4e, ses notes ont chuté, il enchaînait les mises en garde travail et comportement. Depuis la 3e, même s’il ne trouve pas d’intérêt à l’enseignement, il sait que s’il veulent faire un travail qui lui plaît, il est nécessaire dans notre société actuelle de faire un minimum d’études. Il est remonté à 15 de moyenne en faisant peu
      Mais il s’isole de + en +, s’ennuie, n’est+ aussi créatif qu’avant, ne veut + faire de jeu.
      Est il possible de trouver des pistes (peut être en faire un article) pour aider les ados HPI à trouver de l’intérêt dans une activité ? Dans leur vie ?

      • Bonjour Annabelle,

        J’ai le sentiment que ce qui fonctionne pour eux est de nourrir un projet, d’avenir ou à plus court terme d’entretenir une passion, pour ceux qui ont la chance d’en avoir trouvé une. D’instinct j’ai toujours cherché avec mes enfants à chercher dans quels domaines ils pouvaient s’épanouir, en fonction de leurs préoccupations. Ce n’est pas toujours facile car certains enfants le montrent d’autres non et mettent du temps à se trouver.
        Dans l’isolement il y a peut être la difficulté à échanger avec ses pairs : rencontrer d’autres enfants hp pourrait lui faire du bien. Voyez du côté soit de votre groupe régional sur le site pour solliciter une rencontre, soit fu côté des associations, afehp ou anpeip, qui ont des antennes régionales.
        Le sujet rejoint un peu notre second article sur les enfants passionnés : https://www.enfantsprecoces.info/les-enfants-a-haut-potentiel-passionnes/.
        Je vous invite à lire le commentaire de Brinon que je partage tout à fait, je crois que hp rime avec passion et que le challenge est de réussir à déployer ses ailes dans un environnement qui n’est pas forcément facilitateur.
        Vous pouvez aussi réfléchir à qui il était plus petit, ce qui le passionnait ou l’intéressait, cela vous donnera peut être du grain à moudre ?

    • Bonjour Françoise,
      Important en effet que d’évoquer ces particularités de l’ennui. Au passage “amusant” car j’ai publié un article sur l’ennui à la maternelle. Plusieurs causes évoquées car le haut potentiel n’est pas toujours la seule raison de l’ennui, mais vous avez ici détaillé l’ennui particulier en lien avec le haut potentiel et c’est très complet. Pour rebondir sur vos propos, j’évoque l’ennui-détournement de consignes trop souvent mal compris : l’enseignant déduit régulièrement que l’enfant n’a pas compris ou bien qu’il n’est pas volontaire or il est possible de comprendre qu’il s’agit en fait d’un détournement de consigne par ennui soit en observant, soit en l’interrogeant (“j’en avais marre de faire toujours pareil, pourquoi est-ce que toutes les formes seraient des ronds ?”après que l’enfant ait ajouté triangles jaunes et carrés bleus à une consigne “dessine des ronds rouges””).

      • Bonjour Isa Lise,

        En effet nous sommes en phase toutes les 2 !
        Je rajoute un lien vers votre article pour compléter car en effet si j’ai parlé de l’ennui direct lié au haut potentiel, il peut aussi y avoir d’autres causes à explorer, même pour l’enfant hp : https://www.lemondedemeietnoe.com/post/mon-enfant-s-ennuie-%C3%A0-la-maternelle-que-faire

        C’est amusant d’ailleurs comme nous nous retrouvons sur le détournement d’activités :
        moi ” Parents ou enseignants qui lisez cet article, soyez attentifs aux détournements d’activités, ce sont des signes d’ennui ”
        vous “L’enseignant se plaint souvent qu’ils modifient la consigne, c’est un moyen pour eux de créer un nouveau challenge pour « tenir ». La première piste est donc de permettre cette modification, appropriation de consigne”.
        Je me souviens de mon fils qui n’en pouvait plus de colorier en maternelle et qi avait simplement, au cours d’un exercice de coloriage d’un arbre, mis un trait vert dans les branches et un trait marron dans le tronc, pour signifier qu’il avait compris l’exercice.
        Nous vivions aussi ce détournement avant la maternelle dans les jeux, sans savoir pourquoi à l’époque, les enfants inventaient toujours leurs propres règles, bien plus élaborées que les règles de base et pas toujours facile à suivre non plus !

    • Bonjour Anne,

      Je vous comprends parfaitement, et c’est d’autant lus difficile pour les enfants que d’une année sur l’autre, les programmes scolaires n’avancent pas beaucoup. Je le constate avec ma fille qui a fait l’école à la maison jusqu’à cette année et se retrouve en sixième aujourd’hui. Il n’y a guère d’apprentissages nouveaux dans certaines matières comme les maths ou le français.
      Avez-vous enviqgé le saut de classe pour votre fille ? Même si cela ne change pas grand chose sur le mode d’apprentissage, gagner une année pourrait l’aider et la “challenger” un peu.

    • Bonjour,
      Maman d’un jeune ado HPI, je me sens impuissante quand il est dans cette période d’ennuie. Que faire concrètement pour l’aider???? Il arrive à en parler, mais que faire, et au collège ????
      Cordialement

    • Bonjour Mymu,

      Je vous réponds un peu comme pour Annabelle,
      – Solliciter des rencontres avec d’autres ados de même type ou en focntion de centres d’intérêts
      – nourrir des centres d’intérêts et passions en plus de ‘école
      – obtenir des aménagements scolaires adéquats pour l’école. Je vous mets un lien pour ouvrir la discussion avec son établissement si ce n’est déjà fait : https://www.enfantsprecoces.info/enfants-a-haut-potentiel-ca-bouge-du-cote-de-education-nationale/

    • Bonjour,

      Probablement qu’une adaptation scoalire voire même un saur de classe lui ferait du bien.
      Je vous mets un lien : https://www.enfantsprecoces.info/enfants-a-haut-potentiel-ca-bouge-du-cote-de-education-nationale/

    • Bonjour Sophie,

      En effet je parle de l’ennui en général dans un cadre imposé qui ne correspond pas au rythme naturel de l’enfant. Dans cette optique, toutes les activités encadrées établies en fonction d’un âge donné et non pas de compétences peuvent être concernées. J’ai vu mes enfants s’ennuyer beaucoup en jouant avec les copains, en activités de loisirs diverses…
      Concernant l’ief j’ai l’impression que vous avez la réponse dans votre question : en effet l’objectif est de s’adapter au rythme de l’enfant et à ses envies. Si c’était plus facile avant, il me semble qu’aujourd’hui avec les contrôles plus restrictifs et par cycles, la chose se complique un peu. J’ai comme vous pris un cours par correspondance (de très bon biveau) pour ma fille à qui j’ai fait sauter une classe dans la foulée, or les contrôles portaient sur l’année de son âge, malgré avoir informé l’inspection de son niveau…partant de là j’ai trouvé assez compliqué d’avancer réellement à son niveau tout en tentant de coller au programme scolaire de son année d’âge !!!
      L’alternative pour eux est de réussir à balayer rapidement un programme inintéressant afin de pouvoir se concentrer sur le reste. Or je ne sais pas pour votre fils, mais pour les miens le manque d’attrait est synonyme de manque d’action, donc pas facile de les faire accélérer dans ce cas car ils se focalisent sur l’inutilité du sujet. Autant ils foncent quand ça les intéresse, autant ils trainent dans le cas contraire !

    • Bonjour,

      Je crois en effet que l’avance scolaire fait peur aux enseignants et qu’ils réfléchissent en termes de “risques” pris s’ils acceptent un saut. Dans le cas de votre fils, je pense que vous pourriez en discuter avec l’équipe pédagogique et faire justement une balance des risques :
      pas de saut : enfant en colère, dans la provocation, rebelle..
      troisième saut : rare mais pas impossible, répond à l’envie de votre fils, permettrait de le challenger un peu scolairement, est brillant jusque là donc a priori rien ne s’y oppose si on considère ses résultats, et surtout ils n’ont visiblement pas d’autre solution ou alternative à lui proposer. Vous pourriez vous faire appuyer par un psychologue. Le but est de mettre votre fils en situation d’effort,

    • Bonjour,

      Oui, nous pouvons communiquer soit par message privé via votre profil sur le site, ou en m’envoyant un mail à l’adresse de contact du site.

    • Je vous comprends tellement ! Nous avons l’air d’avoir 2 petites aux profils semblables !
      L’amitié est importante oui. Pour ma fille, c’est cet aspect qui est problématique, elle ne parvient pas à entrer réellement en contact avec les enfants de sa classe, elle est à côté sans vraiment prendre part aux discussions, elle préfère les temps d’activités et a tendance à s’isoler avec un livre si elle s’ennuie, récrés en particulier. Je lui donne un peu de temps car avant elle était scolarisée à domicile et je me dis qu’elle a beaucoup de choses à gérer, mais je pense dans un coin de ma tête qu’il va lui falloir une forme d’accélération supplémentaire…
      sur les sujets ennuyeux, je n’ai pas trouvé a solution à part ne pas les traiter, avec l’accord des profs, ou les faire oralement quand c’est possible, en inversant la méthode : elle m’interroge et vérifie mes réponses dans lesquelles je glisse quelques grosses erreurs, pour rigoler !.

  • Bonjour,

    En effet, le seuil de 130 n’est pas à prendre comme une donnée figée, surtout en cas de profil hétérogène.
    en fait ce qui compte est de considérer tous les indices individuellement pour établir des zones de force et ou de faiblesse et pouvoir réagir (adapter le programme scolaire par exemple), en fonction de cela.
    Pour savoir quoi fai…En afficher davantage

  • Bonjour Nicolas,

    Je vois juste votre réponse aujourd’hui. Il y a sans doute un travail d’acceptation à faire avec votre fille, et un professionnel pourrait vous aider. A ce sujet un message de Mehdi plus haut dans la conversation indique les cooordonnées de Frédérique GIRARD (neuropsychologue) a Besançon.
    Sinon vous avez aussi les assoc…En afficher davantage

  • Bonjour,

    Vous faites bien de le faire surveiller. Qu’a donné votre dernier rendez-vous ?
    A priori son développement est bien plus précoce que la majorité des enfants de son âge, et il est possible que son balancement de tête soit une façon à lui de se rassurer ou de se stimuler dans un environnement collectif auquel il doit trouver une forme d…En afficher davantage

  • Bonjour à tous,

    Oui je pense aussi qu’un test d’emblée à cet âge est trop tôt et qu’il vaut mieux attendre l’entrée en maternelle et voir comment cela se passe.
    Par contre gardez l’éventualité à l’esprit afin de faire le lien entre d’éventuelles difficultés, d’adaptation par exp, de comportement ou de participation à l’école, pour pouvoir réag…En afficher davantage

  • En afficher davantage