Elo7
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Bonjour,
Bonne année
En tant que psy, lorsque j’étais en libéral et que je recevais une demande de test, je demandais toujours l’origine de la demande. Si les parents n’évoquaient pas de difficultés ou de mal être de l’enfant, il m’est arrivé de dire que je ne comprenais pas la demande (sinon j’orientais)
Mon premier conseil, ce serait de prendre du temps pour vous. J’imagine que le manque de temps, le quotidien vous en empêche mais vous avez besoin de souffler. Même s’il n’est pas content, prenez un temps pour vous dans la semaine (lisez 30min, sortez 1h,…) sans lui.
Mon deuxième conseil, ce serait d’oser lui dire que vous êtes en difficulté; que vous avez besoin d’un temps pour vous, pour vous ressourcer afin de pouvoir mieux l’aider. L’aider, parce que vous voyez qu’il ne va pas bien. Ce n’est pas un méchant garçon, c’est un enfant qui ne va pas bien. Je pense que cela peut être important pour lui à entendre.
Ensuite, il faut pour éteindre la colère ne pas rentrer dans le cercle vicieux : il crie, on crie, il crie encore +, on crie encore +. Résultat personne n’est soulagé mais tout le monde est épuisé.
Il fait tomber un truc, restez calme et demandez lui de ramasser. Il va se mettre encore plus en colère mais restez calme. Parlez le moins possible. Dites lui juste qu’il souffre, que vous allez l’aider mais avant il doit ramasser (avec lui si c’est le sapin parce que ce qui compte c’est qu’il participe à réparer sa bêtise). S’il pleure, proposez lui un câlin afin de faire retomber la pression et ensuite il ramassera ce qu’il a fait tomber. Au début, il va mettre beaucoup de temps à ramasser mais s’il voit que vous restez calme et que rien ne changera tant qu’il n’aura pas ramassé l’objet, il ramassera de plus en plus vite jusqu’à ne plus jeter d’objet parce qu’il aura compris qu’il peut exprimer sa colère autrement.
A 3 ans, le cerveau d’un enfant ne sait pas gérer les émotions comme la colère. Une petite chose peut provoquer un déferlement de colère ou de tristesse. Et ils ne savent pas s’arrêter ! ce n’est pas de leur faute.
Quand il est calme, revenez sur l’origine des colères avec lui, toujours en lui rappelant que c’est pour l’aider, pas parce qu’il est méchant car c’est faux. Le problème du petit déjeuner, pourquoi les 4 gâteaux ne lui conviennent pas ? que veut-il ? attention, il a aussi besoin que vous le rassuriez en mettant des limites. S’il vous dit « je veux un pot de nutelbip entier ! » à vous de dire non car ce ne serait pas bon pour ta santé. Prévenez bien à l’avance (la veille) qu’il devra choisir entre telle ou telle chose car c’est ce qui est bon pour lui. S’il vous dit qu’il ne mangera rien, peut être qu’il le fera au début mais il arrêtera lorsqu’il verra que vous tenez bon. Il ne s’agit pas là d’une question d’autorité (je suis ta mère, tu m’obéis) mais ce qui est bon pour lui. C’est un être humain, il a le droit de choisir, d’avoir des envies mais c’est à vous de limiter les choix dans le respect de sa santé.
Il a 3 ans, que dit-il de tout ce qu’il se passe chez vous ? sur ce qui le frustre, le rend triste ou en colère ? et est-ce qu’il a une idée pour s’apaiser lorsque la colère monte. Vous pouvez lui parlez de ses colères en les comparant à un volcan en éruption. Listez avec lui ce qui le rend triste ou en colère et trouvez ensemble des choses pour s’apaiser avant que ça n’explose (câlin, respiration, objet à taper,…). Il doit vraiment être acteur et comprendre qu’il n’est pas méchant. J’insiste beaucoup sur ça parce que face à la colère, on oublie qu’il y a une souffrance. Vous pouvez même lui expliquez qu’à son âge le cerveau ne sait pas encore arrêter la colère seul. C’est pourquoi vous allez ensemble trouvez comment l’apaiserBonjour,
Ne vous inquiétez pas, le psychologue tient compte du comportement de l’enfant au cours du test.
Lorsqu’un enfant ne méne pas tous les exercices à bout, le psychologue tient compte de la raison (cognitive, stress, trouble de l’attention,…) et il en tient compte pour sa conclusion.
Il n’y a pas d’échec au test de QI. Ne pas être précoce n’est pas un échec 😉Bonjour,
Vous n’avez pas besoin de l’autorisation de l’école pour faire évaluer votre enfant.
Cependant, vous pouvez leur demander les coordonnées de la psychologue scolaire qui est habilitée à faire passer un wisc.
Vous pouvez aussi consulter un psychologue en libéral pour cela.
Vous pouvez aussi vous renseigner auprès de l’académie.
Vous parlez de voir un pédopsychiatre, donc un médecin. Vous pensez que votre enfant nécessite une prise de médicament alors ?Bonjour,
Que voulez vous dire par “rien donné” ? Normalement le WISC permet de détecter une précocité en donnant une mesure du QI. Si le QI est inférieur à 130, l’enfant n’est pas précoce. Mais lorsqu’on fait passer un test, on donne un compte-rendu avec. Les résultats sont hétérogènes ? l’enfant n’a pas été coopérant ?
Quel âge a votre fille ?
Selon l’âge, l’expression des émotions varie.A t-elle demandé à changer d’école ou lui avez vous donné une explication ?
Précoce ou pas, votre fille réussit elle a dire ce qu’elle ressent avec vous ou quelqu’un d’autre ? Si ce n’est pas le cas, il y a différentes façons de l’accompagner selon son âge et ses réactions. Parfois, les enfants ne parlent pas de leur tristesse et de leur colère à leurs parents pour ne pas les rendre triste mais ils peuvent en parler à d’autres adultes ou amis.
Si tout va bien et qu’en plus elle a intégré une école qui répond à ses besoins, sauté une classe, à mon avis le test n’est pas nécessaire dans le sens où il vous dira si oui ou non elle est précoce mais qu’est ce que cela changera pour vous de le savoir ? C’est votre fille, vous la connaissez. Anticipez ses besoins ? je pense que vous n’avez pas besoin d’un test pour être à l’écoute de votre enfant. Vos questionnements sur ce forum montrent que vous êtes assez attentive pour rechercher ce qui est le mieux pour elle.
Il n’y a pas urgence. Si elle ne passe pas le test aujourd’hui, elle pourra le faire dans 6 mois, 2 ans, 15 ans,… quand cela sera nécessaire
Votre fille souhaite passer ce test ?Bonjour,
Le test est surtout utile si l’enfant rencontre des problèmes dans sa scolarité ou dans ses relations avec les autres. Si tout va bien, ce ne sera qu’un chiffre donc pas forcément nécessaire de le savoir.
En revanche si l’enfant s’ennuie, à des troubles du comportement en classe, des difficultés scolaires,… le test peut éclairer son fonctionnement et ainsi permettre une prise en charge adaptée à son profil et à ses difficultés (saut de classe, méthodologie,…). Cela peut permettre à l’enfant de comprendre “pourquoi” : pourquoi il réagit de telle ou telle façon (ex type : turbulent parce qu’il s’ennuie en classe), pourquoi il n’a pas les mêmes intérêts que ses copains de classe, pourquoi il comprend “x” mieux que les autres mais pas “y”, pourquoi il ne sait pas faire ses lacets mais sait résoudre une équation, pourquoi il se sent différent des copains de classe, pourquoi il réussit tel calcul sans pouvoir l’expliquer, pourquoi il se sent nul quand les autres enfants de son âge savent écrire parfaitement alors que ses écrits sont des brouillons,pourquoi il se sent en colère quand on lui parle de choses “pour les petits” à l’école, … Cela sert à comprendre pleins de pourquoi 😉N’hésitez pas à demander les coordonnées de la psychologue scolaire de votre établissement
Bonjour Claire,
L’aider à verbaliser ses émotions, effectivement c’est très bien. Et il y a aussi d’autres outils comme la relaxation et autres techniques inspirées de la sophrologie qu’on utilise aussi en tant que psychologue. Ce qu’on ressent s’exprime aussi par le corps, on n’utilise pas que la parole dans notre métier. En cas de colère, le cerveau n’est plus capable de raisonner et le corps est en alerte (coeur qui s’emballe, respiration rapide) donc pour pouvoir réfléchir, il faut calmer ce corps qui s’emballe (câlin dans les bras, respiration abdomniale, coup de poing dans un punchingball,…) et là les hormones du bien-être permet au coeur de battre moins vite et de respirer plus normalement. A ce moment la discussion peut s’amorcer.
Mais comme le dit Françoise, le plus important c’est de s’attaquer à la racine du problème.Qu’elle s’ennuie.
En tout cas, c’est ce qui en ressort selon votre description. Demandez aux institutrices les coordonnées de la psychologue scolaire.
D’après ce que vous dites, elle ne se repose jamais. AUssi bien physiquement qu’intellectuellement. Alors attendre, rester assise (même si en maternelle ils sont plus souples), cela doit être difficile pour votre fille et pas forcément gérable pour l’institutrice.
Comme vous “la poussez trop” j’imagine qu’il n’est pas envisageable pour l’institutrice de lui proposer des activités un niveau au dessus pour qu’elle utilise son cerveau à cela au lieu d’être “colèrique” et “insolente” ? Proposez lui de faire le test ? Avant demandez à votre fille ce qu’elle en pense ?Vous le voyez en souffrance, c’est normal que vous cherchiez à l’aider au delà de sa nature.
Pourquoi pas en discuter avec un psy. Vous pouvez lui expliquer que vous voyez qu’il est en souffrance, qu’il refuse d’être aidé mais que ça ne va pas mieux pour lui alors vous ne pouvez pas le laisser comme cela. Peut être que ça pourrait l’aider de parler à un tiersBonjour,
Vous avez pu discuter avec lui du résultat du test ? il en attendait beaucoup ? peut être des réponses et du coup l’hétérogénéité vient les faire disparaître ?
Le mieux pour gérer les angoisses c’est de travailler sur les émotions et la relaxation. S’il accepte, le câlin fonctionne bien, son effet apaisant peut calmer une colère et ensuite vous pourrez discuter de l’origine de la colère. Vous pouvez aussi chercher en amont l’origine des colères pour les prévenir.
Parfois, la culpabilité peut entraîner un cercle vicieux : on est en colère > on voit que ça dérange l’entourage > colère + colère contre soiBonjour,
Pas de diagnostic, ce n’est pas une maladie 😉
Bien sûr précoce ou pas, parler à son enfant, répondre à ses besoins, le stimuler, cela favorise les apprentissages.
Le développement chez un enfant, précoce ou pas, n’est pas linéaire. Il va y avoir des domaines où l’enfant sera plus en avance que sur d’autres. Là, votre fils est en avance sur le langage et dans la norme pour la marche. On ne se rend pas compte mais cela demande une énergie folle au cerveau pour faire autant d’apprentissages en si peu de temps.
De plus il est très sensible, et son cerveau s’est beaucoup concentré sur le langage notamment, donc deux choses qui font que pour l’instant l’écrit est mis un peu de côté. Peut être qu’il ne se sent pas prêt à dessiner des choses s’il a peur que son tracé ne ressemble pas à ce qu’il a en tête.
Il est trop tôt pour tester votre fils mais il semble qu’à la crèche il s’ennuie. Est-il possible au personnel de s’adapter pour lui proposer des jeux plus en adequation avec ses capacités ?
Peut-être aussi, effectivement, l’arrivée du grand frère n’a pas aidé. Rien à voir avec l’amour qu’on peut avoir pour son frère ou sa soeur mais juste retrouver une place dans une nouvelle dynamique. Déjà qu’à la crèche, sa place n’est pas avec les adultes mais elle n’est pas non plus avec les autres enfants qui ne parlent pas aussi bien que lui d’où les soucis de comportement certainement.
Je vous conseillerais de travailler avec lui sur les émotions (ce qu’il ressent y compris quand ça va, droit d’être en colère mais pas le droit de taper,…) et la relaxationBonjour,
C’est déjà très bien que vous ayez ce test avec ces commentaires.
Si la directrice est de votre avis, pourquoi son avis ne prévaut pas sur celui de l’institutrice ? Et que conseille t-elle pour aider votre fils si le saut de classe n’est pas une bonne idée ?Ne perdez pas espoir ! Comme le dit Françoise, l’institutrice n’est pas décisionnaire à elle seule et le bilan est un atout pour votre demande
Bonjour,
Votre fils est testé ? il pourrait voir que, ok il est dyspraxie, mais il est aussi performant dans tel ou tel domaine
Il a un suivi psychomot’ pour sa dyspraxie ?Les réponses “c’est trop dur, je ne vais pas y arriver” sont des réponses de fuites. Vous pouvez essayer de creuser avec lui : pourquoi telle chose est trop dure ? Quelle aide on peut t’apporter pour qu’elle soit moins difficile (plus de temps ? plus d’explications ?,…). Est-ce qu’il s’agit d’un problème méthodologique (puisque cela concerne même les sujets qu’il adore) ?
Il a peur de perdre ses copains s’il a de meilleurs notes ?
Il y a le manque de motivation mais comme il a des facilités, il pourrait vite se débarasser des activités obligatoires pour ensuite faire des choses qui lui plaisent plusen tout cas, si vous trouvez la clef pour réussir à ce qu’il ne cache pas ses compétences je suis preneuse. Ma fille (non testée) en GS fait déjà ça 🙁
Bonjour,
Votre fille est toujours suivie par une psychologue ou un pédopsychiatre ? C’est avec elle/lui que vous pourrez discuter de ses difficultés et d’une possible passation de test. Parfois il faut du temps à l’enfant pour qu’il se sente assez à l’aise pour oser dire ce qu’il ressent. Surtout que dans la majorité des cas ce sont les parents qui décident d’emmener l’enfant voir un psychologue donc il faut un peu de patience pour qu’il comprenne que ce n’est pas une punition ou un manque d’amour mais bien au contraire parce qu’ils aiment leur enfant qu’ils veulent l’aider en l’amenant voir un psychologue. Une fois que l’enfant en prend conscience, il parlera. Et il parlera sous le secret professionnel donc vous ne saurez pas forcément tout ce qu’il dit au psy (et ça, ça peut aider l’enfant à oser parler). Il faut du temps pour que la relation avec le psy se fasse.POurquoi la changer d’école autant de fois et encore ?
Vous pouvez demander à sa maitresse ou à la direction de l’école les coordonnées de la psychologue scolaire pour le test
Bonjour,
J’ai l’impression que vous ne devez pas vous ennuyer chez vous 🙂
Pour la plus jeune, le test serait trop tôt oui. Pour la plus grande, elle est déjà suivie et je suppose que vous avez raconté son parcours et le vôtre à la pédopsychiatre donc elle va pouvoir prendre en compte son profil et voir s’il est nécessaire de la faire tester. Pour la gestion des émotions, il n’est pas forcément nécessaire de voir un médecin. Un psychologue peut faire cet accompagnement (sauf en cas de crise nécessitant une médication)Bonjour Marine,
Entendre des voix ça peut vouloir dire parler de quelque chose d’incontrôlable, pas forcément d’une hallucination. Parlez en avec votre psychologue. Rien de mieux qu’une longue discussion et voir l’enfant pour se faire un avis.
Vous avez eu raison de ne pas prendre à la légère son mal-être. Vous avez fait le premier pas pour qu’il se sente mieuxBonjour,
Je vais me permettre de vous répondre en tant que maman mais aussi professionnelle (psychologue).
Aucun professionnel ne peut faire de diagnostic de cette façon là, avec juste un résumé de l’enfant et surtout sans voir l’enfant en vrai.
Alors oui vous pourrez trouver des parents qui vont vous dire “je reconnais mon enfant sur ça et ça” mais ce ne seront que des détails. par exemple “pleurer pour un rien” il peut y avoir 1000 raisons à cela : douleur, peur, difficulté à gérer ses émotions, parfois des enfants se taisent pour ne pas inquiéter leurs parents mais ils peuvent avoir mal quelque part ou être triste.
Pourquoi ne pas recontacter le CAMPS ou un pédiatre ou un psychologue si vous êtes à nouveau inquiéte pour son côté “bizarre” ?J’entends que le test vous permettra de vous sentir plus rassurée, vous sentir mieux armée en cas de soucis.
Mais, il ne sera pas forcément la réponse à un souci futur
Et il n’y aura pas forcément de souci plus tard
Vous êtes très attentive donc vous ne passerez pas à côté de quelque chose plus tard
Nous parents, on ne peut pas s’empêcher de s’inquiéter pour plus tard, d’avoir peur de ne pas être un “super parent capable de tout affronter” 😉Je suis tout à fait d’accord avec Françoise.
Il semble que votre enfant aille bien. Il semble épanoui et son environnement est à son écoute
Il faut se poser la question : pourquoi ? Quand j’aurais le résultat, qu’est ce que je vais en faire ? S’il y a un souci, le résultat permettra un aménagement, une compréhesion. Mais si tout va bien ?Ma fille aussi les premiers mois refusait de faire ce que lui proposait son instit’ de petite section. J’étais d’autant plus étonnée qu’à la maison, ce n’était pas le genre “rebelle”.
Pour votre fils, la rentrée vient de débuter. Il a peut être besoin de comprendre comment marche la maternelle, trouver ses repères dans la collectivité. Etait-il en crèche avant ou à la maison ? Angoisse de séparation aussi peut être ?
Si les difficultés persistent, vous pouvez demander à voir la psychologue scolaire.
Pour les tests, la psychologue scolaire pourra vous aiguiller également (passation ou orientation vers un autre psychologue)
Ce serait bien, pour votre enfant mais aussi tous les autres, que la maîtresse prévienne lorsqu’un changement va arriver. Cela peut être très frustrant si l’on a pas fini et qu’il faut s’arrêter d’un coup.
Peut être que votre fils cherche à comprendre en choissisant surtout les livres sur la colère ou l’excitation.
Les livres de Gaston sont très intéressants pour comprendre les émotions que l’enfant ressent, mais pas forcèment pour celles qu’il induit (l’étape d’après). Que ressentirait-il si on le tapait ou si on lui crie dessus ? Quand lui tape ou crie que ressent l’autre ? La colère est normale, autorisée, quelque soit la raison mais c’est comment on l’exprime qui va ou pas. Il a le droit d’être en colère lorsqu’il est frustré mais pas de l’exprimer en tapant. A vous de l’accompagner pour lui montrer comment l’exprimer autrement. Il est tout jeune mais c’est le bon moment 🙂
Je ne sais pas s’il connaît la Reine des Neiges 1 mais c’est la parfaite illustration de la non maitrise de ses émotions. A la fin du film, elle a appris à les maîtriser en osant montrer qui elle est, ce qu’elle ressent et elle cesse de figer tout sur son passageBonjour,
Vous pouvez consulter un psychologue pour l’aider dans son hypersensibilité et ses réactions violentes.
A la maison, la relaxation et un travail sur les émotions peuvent déjà l’aider à être un peu plus apaisée
La classe de CP est un cap important. Nouveaux repères différents de ceux de la maternelle, parfois on ne se retrouve pas dans la même classe que les copains.
Que dit votre fille ?
Bonjour,
Qu’il soit ou non précoce c’est une chose mais son comportement envers ses camarades en est une autre.Les colères à chaque changement d’activité : a t-il le temps de les finir ? Comment se passe les transitions ? est-ce que la maitresse lui explique que dans tant de temps il faudra arrêter ?
Les petites tapes et les cris : a t-il vu quelqu’un faire cela ? est-il dans le mimétisme ?
Et lui, qu’en dit-il ? vous pouvez l’accompagner dans ses émotions lorsqu’il est en colère ou le questionner sur ce que ressent l’autre lorsqu’il tape
Ok, du coup j’avais mal compris le sens de votre message. Là, elle le trouve déjà pas assez mature ou elle vous dit “attention, plus tard il aura intérêt à être mature” ? j’essaie de comprendre cette anticipation.
Après il a le temps. Le collège et le lycée ce n’est pas pour tout de suite.
A 5 ans et demi, rien d’anormal s’il a encore besoin d’être rassuré par ses parents, s’il ne sait pas toujours comment s’occuper seul ou ce genre de chose. Cela se fera en grandissant naturellement. Ce qui compte c’est qu’il soit épanoui. Arpès je ne sais pourquoi elle vous a dit cela.
En tant que psy, je ne comprends pas trop cette demande, ce “il lui manque quelques mois”. Peut être devriez-vous en parler avec sa psychologue pour mieux comprendre sa demande (si s’en est vraiment une). la maturité s’acquiert aussi avec les expériences donc le temps
