Fanny34
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Fanny34 a commenté cet article : Ma fille, mon combat ! il y a 9 ans et 7 mois
Je suis preneuse de conseils ! J’ai lu le livre de ma psychologue Danièle Dufour “Précocité intellectuelle, entre souffrance et surdouance” ce fut le premier, celui qui m’a fait comprendre ma fille, j’etais dans le noir depuis des années et cette psychologue a allumé la lumière !! j’ai également lu le livre de Jeanne Siaud Facchin “L’enfant surdou…En afficher davantage
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Le profil de Fanny34 a été mis à jour il y a 9 ans et 7 mois
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Fanny34 a écrit un nouvel article il y a 9 ans et 7 mois
Combat n’est pas un vain mot ! J’aimerai pouvoir faire court mais mon histoire est compliquée et est bien loin d’être réglée…je me sens tantôt d’humeur combative tantôt déjà vaincue…
Aujourd’hui ma fille a 1 […]
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Je suis preneuse de conseils ! J’ai lu le livre de ma psychologue Danièle Dufour “Précocité intellectuelle, entre souffrance et surdouance” ce fut le premier, celui qui m’a fait comprendre ma fille, j’etais dans le noir depuis des années et cette psychologue a allumé la lumière !! j’ai également lu le livre de Jeanne Siaud Facchin “L’enfant surdoué” qui m’a beaucoup aidé aussi…
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Bonjour Fanny,
Il y a dans chaque académie un référent EIP qui pourra t’aider je pense. Il est faux que seul le test pratiqué par une psychologue scolaire est valable. D’autant que beaucoup de psy scolaire n’y connaissent rien. Ma fille de 14 ans a été testée l’année dernière par une ancienne psy scolaire Claire Grand. Va voir elle a un site sur internet très intéressant sur la précocité. Je te conseille les conférences et les livres d’Olivier Revol. Et rapproche toi de l’ANPEIP ou de l’AFEP.
cordialement -
Bonjour,
Je vis le même calvaire avec mon fils, qui a sept ans. Intellectuellement, selon les tests, il a entre 5 et 10 ans d’avance. l’an dernier, il a été tabassé pendant 3 mois, racketté les 3 mois suivants, isolés (et cette fois avec l’accord des enseignants !) pendant le dernier trimestre… Il est terrorisé par les autres enfants, et a perdu confiance dans les adultes. Inutile apparemment de compter sur l’Éducation Nationale, qui ne respecte pas les lois sur les EIP. Prétexte : on n’a pas le temps de prendre tous les cas en compte. Une seule personne pour tout le département pour s’occuper de ceux qui ont un écart de QI avec la norme, dans les 2 sens. Résultat, cette personne s’occuper des handicapés mentaux, jamais des EIP.
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Bonsoir à tous et merci à Fanny pour le récit de votre histoire et de celle de votre fille.
Je suis arrivée sur site un peu par hasard en cherchant une information pour que ma fille de 14 ans puisse faire un stage de 3ème alors qu’elle est déscolarisée depuis un mois et inscrite au CNED.
Tous vos témoignages sont stupéfiants. Nous sommes vraiment entourés d’incompétents, mais parfois de belles rencontres auprès de thérapeutes nous redonnent de l’espoir.
Je vous recommande également la lecture des ouvrages du Dr Olivier Revol, qu’il faut également aller voir au moins une fois en conférence. Il se déplace dans toute la France et voit nos enfants avec une telle bienveillance qu’il nous redonne de l’énergie pour continuer à nous battre pour nos enfants.
C’est fou que ce soit autant le parcours du combattant quant on voit combien d’enfants sont touchés et à quel point c’est difficile pour eux et pour toute la famille.
Je me retrouve en partie à travers vos témoignages car on a tous ou presque rencontré des instits tordus et d’autres formidables. Des psy incompétents et d’autres extraordinaires.
Mais que c’est dur de tenir le coup, de continuer à bosser, à encourager nos zèbres, rester une famille soudée … On en bave tous et on s’accroche au moindre coin de ciel bleu.
Merci pour l’info du référent EIP dans chaque académie je vais tenter, sait-on jamais , je suis dans l’Isère Académie de Grenoble, si vous avez des tuyaux je suis preneuse.
Bonne soirée à tous et bon courage.
Sandrine -
Un combat perpetuelle autant pour les enfants que les parents. Ma fille à 5 ans et nous sommes dans la même situation … des professeurs et une directrice qui ne comprennent pas. Des rdv interminables chez des specialistes avec pour tous les mêmes conclusions ” une enfant précoce”.
Ma fille ne trouve pas sa place et n’est pas comprises et ceux depuis son plus jeune âge, même en crèche le problème se posait . Elle refuse de se rendre à l’école et m’a demandé de lui faire l’école à la maison, car ” l’école c’est nul, ils ne font rien et les élèves sont des bébés”. Lorsque nous en parlons aux professeurs et sa directice pour eux ce n’est que des ”caprices” car tous ce passe bien en classe et qu’ils ne voient pas de signes particuliers. Mais moi je récupère à la sortie de l’école une sorte de cocote minute prête à exploser et qui se met à pleurer sans raison, car elle passe la journée a se contenir pour rentrer dans ce moule imposer par le système scolaire . Nos enfants ont une soif d’apprendre et des questions sur tout et cela dérange . En même temps comment peuvent ils les gérer dans des classes de plus de 30 élèves. Pour ma part je pense que le combat continuera et s’arrêtera lorsque nous la sortirons de ce systeme scolaire , car ils finiront par décourager et détruire nos enfants. Pourtant des solutions pour les enfants en echec scolaire existent alors pourquoi pas pour nos petits zèbres ? Bon courage à tous. -
Bonjour je bien de lire les problèmes que vous avez rencontré avec votre fille et je rencontre des soucis tres similaire avec mon fils de 9 ans . En effet celui-ci a parler très tôt a la crèche il connaissait l’alphabet, savait compter faire des additions simple … il était très observateur ont lui disait de rester sage il ne bougeait pas jamais eu de crise de désobéissance comme ces frères .par contre il était maladroit ont ce retrouvaient souvent aux urgences pour des points de sutures car il tombait souvent. En classe Il a toujours eu des soucis de lenteur, enfant qui prend sont temps pour sortir ces affaires, souvent dans la lune ou distrait, les résultats sont pourtant bon pour un enfant de sont age mais pas le 1 er de la classe. En gros il ne fait aucun effort et à dans l’ensemble de bonne notes. Sinon d’une Année à l’autre delon le professeur il fait des efforts en classe ou non . l’an dernier en ce2 il a eu une institutrice qui nous a alertés sur une confusion de sons , et des soucis de graphotherapie pour lenteur d’écriture. Nous avons fait un bilan orthophonique qui a révéler que tout allait bien qu’il était supérieur par rapport à un enfant de sont age mais qu’il perdait sont temps à vérifier dès chose qu’il avait bonne. Pour lorthophoniste pas de lenteur d’écriture car les dictées effectué pour la confusion de sons était finit dans les temps . La maitresse insistant sur la graphotherapie nous avons demander conseils à la Psycologue scolaire qui la reçu et a fait le test wisc elle ne lui a pas fait tout les tests car il était hétérogène soit tres supérieur ,soit moyen, ou moyen fort( mais mon fils m’avait dit qu’il n’avait pas chercher à faire trop d’efforts sur le test et qu’il prenais un peu sont temps) Mais elle a conclut que ce devait être un soucis avec la Maitresse et c’est tout car mon fils est très bien constituer. Cette année en cm1 il s’ennuie il me dit que ses copain sont des gamins… j’ai rencontré la maitresse pour savoir si les problèmes d’écritures et la confusion de sons était toujours présent celle ci m’a dit que non que c’était un bon élève. Mon fils insistant sur l’ennuie ma belle mère m’a dit de consulter un Psycologue privé qui à opter pour le test wisc ( affectué 6 mois après le 1er) et la les résultats sont complètement différent, delon la psy privé il serai Hp . Je sais qu’il y’a l’effet miroirs possible mais il y’a plus de 30 points de différence sur certains je trouve que sa fait beaucoup pour un effet miroir . Résultat l’école veut rien entendre car pour eux le test de la psy scolaire compte( je comprends leurs point de vu) . Aujourd’hui je suis également dans une impasse d’un enfant qui s’ennuie terriblement en classe qui aurait un peu fausser les résultats du 1 er wisc alors que le 2 eme il a compris s’il était important de le réussir pour lui même.
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Bonjour,
Je ne comprends pas cette obstination de la part de certains enseignants à ne pas vouloir reconnaître la valeur d’un test établi par un psychologue privé au risque de nuire au bon épanouissement d’un enfant. Dans les conditions de passation d’un test le facteur psychologique, les conditions de stress… jouent beaucoup aussi, de même que les relations personnelles à l’école. Ces enfants pour s’en sortir ont besoin qu’on leur fasse confiance et qu’on les encourage dans leurs points forts (qu’on les aide aussi dans leurs difficultés mais sans toujours mettre l’accent uniquement sur celles-ci pour faire barrage à toute avancée). Selon ce que vous pensez bon pour votre fils, je vous conseille de prendre contact avec le référent eip de votre académie pour vous soutenir.
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Merci beaucoup de votre témoignage, ça me touche beaucoup.. Je souhaite bonne chance à votre fille et qu’elle reprenne confiance aux adultes…
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Bonjour
Je viens de voir ce message.
Il se trouve que je suis maman d’un petit garçon qui a eu beaucoup de mal à supporter la maternelle, et aussi prof dans le secondaire publique en France (nous avons quitté la France il y a quelques années pour enseigner dans le système français à l’étranger).
Je connais donc la situation vécue par les enseignants…
Il n’existe aucune formation specialisée approfondie pour former les profs à la spécificité des élèves hp. Sauf quelques stages de 2 jours auxquels les profs n’ont pas toujours droit (nous sommes rationnés quand il n’y a pas de Réforme à digérer).
Les conditions matérielles de travail offertes actuellement, les problèmes de gestion de classe (discipline) et les exigences d’uniformité de l’enseignement de la part des Rectorats rendent l’adaptation des cours à des enfants EIP presque impossible.
Le mot d’ordre est que TOUS doivent pouvoir réussir… donc la difficulté est évitée pour que les plus faibles ne soient pas en échec. Le travail proposé est alors souvent démotivant pour un enfant Hp.
Le prof ne sera pas capable de proposer un autre travail à votre enfant et de lui prêter attention en classe. Il a déjà trop de mal à gérer les autres… Il pourra à la rigueur lui faire faire du travail en plus, qu’il corrigera hors classe.
Les classes de niveau sont très mal vues car elles permettraient à certains de progresser plus vite… l’égalité prime! A la rigueur, on comprend mieux qu’on retire les élèves deficients. Mais même, dans les faits… beaucoup d’enfants qui autrefous seraient allés en SEGPA restent au collège. Voilà pourquoi les classes spécialisées pour hp sont rares. En plus elles demandent un budget que ni la Droite ni la Gauche ne souhaitent investir.
Comme quasiment aucune aide n’est prévue par le système… qui se veut le plus économe possible et non élitiste possible, quand un parent se présente devant un prof et un chef d’établissement avec un bilan psy pour dire qu’un élève est hp, il est clair qu’il dérange. Une des solutions est de faire l’autruche en croisant les doigts… peut-être que les problèmes se tasseront ou que le parent n’insistera pas. Une autre solution est le déni : le parent ment ou son psy est mauvais !
Après… certains parents ont la chance de tomber sur des communes, départements ou regions mieux dotées que d’autres…
Mais dans la plupart des cas, je pense sue si un enfant est vraiment en souffrance, perdre don temps à attendre quelque chose de l’institution est souvent une erreur. L’Education Nationale n’a pas les moyens d’aider les enfants à haut qi… il est juste tabou de le dire. -
Entièrement et tristement d’accord, mes fils en ont fait les frais .
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