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Guillaume

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 10 mois

    Ils suscitent l’admiration et parfois l’agacement ; on peut s’imaginer que leur vie est belle, que tout leur est accessible, qu’ils ont le monde à portée de main mais… le haut potentiel des adultes surdoués est-i […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 10 mois

    Le journal La Montagne a publié récemment le témoignage de cette famille de Brive que j’ai trouvé suffisamment réaliste et riche d’enseignements pour vous le présenter ici. Les anecdotes et expériences rappor […]

    • Bonjour
      Je suis très intéressée par vos articles et très interrogative pour ma fille de 5 ans qui s appelle Meyleen.
      Je vis en région PACA près d Avignon et je souhaiterai savoir si vous auriez des spécialistes à me recommander vers qui me tourner.
      Mon docteur généraliste n est pas sensible à tout cela et ne s’y intéresse pas je me sens démunie ne sachant pas vers qui me tourner
      En vous remerciant par avance pour la réponse qui me sera adressée.
      Bien cordialement

      Anne Charlotte Planchenault

    • Bonjour
      Je vous remercie j ai fait le’post sur le groupe PACA en espérant avoir des info de la part des membres
      Merci beaucoup

      • Bonjour,

        Il est vrai que les enseignants sont vraiment mal informés et c’est dommage.

        Pour mon fils aîné, nous avons bataillé 2 ans avec l’école. La maîtresse de petite section pensait qu’il était très angoissé car il jouait à des jeux peu commun, il fesait des scénarios catastrophe (tremblement de terre, éruption volcanique, mêlé aux dinosaures etc), suite à une consultation psy, il nous a été évoqué une précocité certaines chez notre fils, il nous a donc été demandé de lui faire passer un test.

        Il nous a fallu un an d’attente pour lui faire passer le fameux test, nous avons pendant ce délai parler des soupçons de précocité, mais pour elle c’était impossible.

        En moyenne section, mon loulou a eu la même enseignante, il a saboté son test volontairement, mais tout les professionnels l’ont déclaré précoce sans le moindre doute, la maîtresse ne voulait pas l’entendre.

        L’année a été très difficile, j’ai du faire intervenir la neuropsychologue et l’éducatrice pour que le calvaire de mon fils se stop.

        Cette année en grande section (l’école refuse le saut de classe même si ça a été demandé par la neuropsychologue) il a toujours la même enseignante, l’intervention des professionnels l’a aidé à mieux comprendre mon fils, je lui ai transmis la plaquette de votre site, et ça se passe mieux, ce n’est pas encore ça mais il y a du mieux.

        Après les fêtes nous allons essayer de faire accepter à l’école des moments passerelles avec le CP, on verra bien.

        Nous avons 2 autres enfants, des jumeaux, ils sont entrés en petite section cette année.

        Mon fils pleurait du matin au soir non stop en classe, ne comprenant pas pourquoi, surtout qu’il voulait vraiment aller à l’école, nous l’avons emmené au CMPE (ils commencent à bien nous connaître avec le suivi du grand ).

        L’infirmière nous a parlé de toc, de très bons niveau de langage cacher par un défaut de prononciation, de très bonnes mémoires et logique ainsi qu’une grande sensibilité, nous l’avions remarqué mais sans en déduire quoi que ce soit.

        La psychologue de Paul nous a annoncé qu’elle recevra en janvier notre deuxième fils car il y a de fortes soupçons de précocité également chez lui, on est restés sur les fesses car nous ne nous attendions pas du tout a ça.

        Elle nous a également dit qu’en discutant avec l’enseignant de notre fils, il avait remarqué de grandes aptitudes chez notre fille (la jumelle) mais que contrairement à son frère jumeau, qui lui est très actif, elle est très discrète.

        On est restés scotché face à tous ça, la psychologue a vite vue qu’on était surpris, elle nous a expliqué que nos deux derniers enfants étaient très probablement précoce mais avec des profils différents, donc 3 précoces avec 3 profils différents.

        Nous sommes toujours sous le “choc”, une thérapie familiale va être mis en place car nos enfants n’arrivent pas à s’entendre et jouer ensemble.

        Pour le reste nous verrons ce que nous dira la psychologue en janvier.

        • Bonjour,

          Effectivement, le haut potentiel même s’il peut être une caractéristique commune ne s’exprime pas forcément de la même façon d’un enfant à l’autre.
          Entre garçons et filles c’est souvent plus marqué, les filles sont plus adaptables, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’aient pas des besoins accrus.
          Vos enfants sont encore très jeunes, commencer une thérapie familiale sur la base d’une difficulté à jour ensemble me semble un peu “exagéré”.
          C’est sûr qu’il faut trouver un train d’entente entre les uns et les autres, leur apprendre à partager, respecter des règles. … comme avec tous les autres enfants. Avec les enfants à haut potentiel, le jeu pour jour n’est pas aussi évident : ils ont besoin de jeux stimulants, souvent bien au delà de leur âge et la difficulté est de trouver ce qui les ”branche”. Par exp ma fille de 7 ans joue avec ses grands frères à 7 WOnders et bien d’autres jeux du même type, Uno et ce genre c’était vers 2 3 ans etc… ils aimaient tous bien les memory assez jeunes. Donc ce sont les repères qui changent et sont à trouver. Fréquenter une ludothèque si possible est très intéressant pour eux et vous.

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 11 mois

    Dans le témoignage qu’elle livre au HuffingtonPost Québec, Virginie, la maman de Kaïs nous explique comment le choix de l’école à la maison s’est imposé à elle et en quoi il a constitué une décision salutair […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 11 mois

    Pour l’occasion, Mélanie Gomez accueillait le docteur Louis Vera, pédopsychiatre à la Pitié-Salpêtrière à Paris, et auteur du livre “Tous précoces, tout hyperactifs vraiment ?”. paru le mois dernier aux édition […]

    • Merci pour votre article merci de soutenir les parents qui avancent comme ils peuvent
      En plus il y a enfant précoce, puis ado précoce et c’est pas pareil …

    • Bonjour, je suis choquée de cette interview. Encore un qui ne sait pas de quoi il parle ! Maman d’un enfant HP je ne retrouve pas mon enfant dans ce qu’il dit !
      C’est une honte de tel propos à la radio !

    • Pour répondre à vos questions,
      – nous avons demandé au psychologue de tester notre plus jeune fille parce qu’elle (notre fille) nous l’a demandé à l’âge de 9 ans. Idem pour la sœur juste au-dessus (10 ans à l’époque) une fois qu’on a eu les résultats de la petite sœur. Elles n’étaient pas particulièrement en souffrance mais ont vu qu’elles pouvaient sauter une classe et s’ennuyer moins grâce à un petit camarade qui lui avait été diagnostiqué avant et avait déjà sauté 2 classes. Donc ce qui nous a poussé, ce sont nos enfants qui grâce à un autre élève ont vu une opportunité s’ouvrir.
      – J’ai 4 filles HP dont 2 officiellement diagnostiquées par le psychologue scolaire et les 2 plus grandes qui n’ont pas passé les tests (le psychologue scolaire a refusé parce qu’elles n’étaient pas en crise et il était déjà débordé et nous ne voulions pas dépenser 450 euros pour qu’on nous dise ce qu’on savait déjà). Donc pour moi, probablement, il y autant de HP chez les filles mais elles sont moins détectées car elles vont moins au clash.
      – tout à fait d’accord avec vous sur le fait qu’un WISC peut être “raté” parce que l’enfant n’est pas en forme ou en refus de coopérer ou juste traumatisé par les tests. C’est un test qu’on passe à un instant T sur des questions qui sont propres à un standard qui ne va pas forcément correspondre à un enfant d’une autre culture, qui maîtrise mieux une autre langue, etc.
      – je ne sais pas si on peut parler de HP fabriqué, mais d’après mon expérience personnelle (HP moi-même) et ce que je comprends des neurosciences, un bébé arrive au monde avec un cerveau pré câblé, et ce sont ses expériences qui vont lui permettre de terminer le câblage. Du coup, si le bébé est dans un environnement riche, et qu’il a le loisir de découvrir le monde à son rythme, d’interagir avec des gens en sécurité émotionnelle, il va bien se développer, et sinon, ça ne va pas être le top. Mais la norme, n’est ce pas plutôt d’être dans des environnements où on n’est pas en sécurité émotionnelle et où l’environnement est plutôt pauvre ? Quelle proportion d’enfant a la chance d’avoir un entourage aimant et qui peut passer du temps de qualité avec lui dans les premières années de vie (ou juste laisser l’enfant passer du temps de qualité avec son environnement)? De mon point de vue, très peu. En plus le WISC est relatif. Même si tout le monde devient plus “bête” ou plus “intelligent”, ça reste pareil. J’ai vu un reportage sur les effets sur les grossesses des perturbateurs endocriniens ou le manque de sodium qui disait que sur un test militaire qui n’avait pas changé depuis 1980 dans un pays nordique, les résultats avaient nettement baissé. Alors qu’en France, on est déjà à la 5eme version du WISC, ça change tout le temps et c’est relatif, donc je pense que dans quelques années, les neurosciences pourront nous proposer des tests plus pertinents et plus dynamiques pour tester la capacité à s’adapter, à remettre en cause des idées de départ suite à des résultats contre intuitifs, à savoir persévérer… Cela testera le potentiel d’une personne à savoir se développer, ce qui me paraît plus intéressant qu’une image à l’instant T.

    • Mon fils, aujourd’hui âgé de 14 ans, a été “suivi” par le Dr Vera pour un TDAH pendant 1 an environ. Je mets des guillemets car je n’appelle pas vraiment un suivi le fait de recevoir un jeune et de blaguer pendant 20 mn pour encaisser un gros chèque ensuite. Mon fils n’était pas écouté. J’ai eu de gros doutes, au bout de quelques mois, sur un éventuel haut potentiel mais le Dr Vera trouvait inutile de faire un test et écartait cette hypothèse du HP. Il m’a juste dit que si on faisait un test de QI, mon fils aurait forcément un indice verbal très haut étant donné son niveau de langage mais que ça ne voulait rien dire… Donc selon lui, un test ne sert à rien et un entretien non plus… Bref, finalement, nous avons changé de pédopsychiatre et avons fait un test de QI et mon fils est bien HP.
      Mais finalement, le problème global avec les psychiatres est qu’ils n’étudie t pas le Haut potentiel pendant leurs études et ont tendance à psychiatriser les signes. Un autre pédopsychiatre (qui ne recueille d’ailleurs que des mauvais avis) m’a parlé d’Asperger pour mon fils or, après avoir vu plusieurs autres médecins et m’être plongée dans l’étude des TSA, j’ai compris que c’était faux. Le signe ayant mené à ce diagnostic était les problèmes relationnels avec les autres…qui découlaient du HP. Il ne faut donc pas hésiter à voir plusieurs professionnels et prendre l’avis de psychologues et de pédopsychiatres.

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 11 mois

    Sandrine Gaouenn est l’auteur du livre “Maman est autiste, et elle déchire ! : Etre femme, mère et autiste au quotidien” paru récemment aux éditions Josette Lyon. Tout au long des 224 pages de cet ouvrage, ell […]

    • Merci beaucoup pour cet article. (Je suis l’auteure de ce livre ) et merci pr ce que vous faites pour les enfants precoces ! Sandrine. G

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 11 mois

    Jasmine Gage est coach de vie à Genève. Elle est l’auteur du livre “Accompagner son enfant zèbre : à haut potentiel, hypersensible ou Asperger” aux éditions Jouvence en 2017, un ouvrage qui a le mérite d’app […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 11 mois

    L’identification des enfants surdoués n’est pas toujours facile, notamment lorsque les références manquent dans la famille ou l’entourage proche. Les parents d’un premier enfant peinent parfois à détecter la part […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Dans sa dernière chronique pour le journal des femmes, la psychologue Arielle Adda insiste sur l’importance qu’il y a à faire preuve de compréhension face aux réactions parfois vives d’un enfant sur […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Les témoignages d’Isabelle Comtois et Noémie Giguère relayé par le site canadien TplMoms.com viennent utilement nous rappeler l’importance de l’identification et de la prise en compte des besoins particuliers des […]

    • Ici ma puce a été diagnostiquée à 5 ans et demi grâce à notre connaissance du sujet lié à son frère. Ça aurait été notre fille aînée, on serait complètement passé à côté et l’école aussi. Elle commençait à régresser pour se mettre au niveau que l’école attendait d’elle. Après un saut de classe, je la vois recommencer à progresser et à s’épanouir. Un diagnostic precose est indispensable pour pouvoir faire les bons choix et expliquer à nos filles qu’elles ont le droit d’être différentes et de rester elle même.

    • Bonjour à tous,
      Notre fille a aujourd’hui 9 ans et demi. Ses crises de colères nous avaient poussés à consulter une psychologue spécialisés dès son CP (elle savait lire en GS). Nous avons fait 2 séances et la psychologue nous avait encouragé à consulter le site du Zebre à Vitré, ce qui nous avait permis de mieux la comprendre. La haute potentialité avait déjà été évoquée à l epoque mais nous ne l avions pas faite tester.
      Devant la recrudescence des crises (et la proportion qu’elles prennent), nous sommes retournés cette année chez la même psychologue. Elle a passé le test et a été diagnostiquée HP. Nous essayons de la comprendre et de communiquer au maximum mais les crises sont toujours présentes et très intenses, nous essayons de garder notre calme mais elle nous pousse à bout (elles effraient meme son frère de 5 ans et demi)! Je suis preneuse de tous conseils et idées de lecture (pour nous comme pour elle!) pour nous aider à apaiser ces tensions..
      Merci d avance pour les conseils!

    • Bonjour, je reconnais ma fille dans votre récit.
      La maîtresse de GS voulait la faire passer au CP mais refus de la directrice. Elle s ennuyait à l école malgré les travaux supplémentaires donnés.Puis un jour , elle a décidé d arrêter d apprendre à lire . Elle commençait à lire toute seule. Elle a décidé qu on apprenait à lire qu au CP. Elle ne voulait plus être différente.
      Aujourd’hui elle est en CE2 et elle va sauter une classe pour aller en CM1 en janvier après un mois de transition CE2/CM1. Ça se passe tres bien grâce à l équipe d enseignants qui est à l écoute et très investie

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Samedi 5 Octobre, salle Victor Hugo à Lyon, la première fête de la Neurodiversité a été célébrée, à l’initiative de l’association « La Neurodiversité-France ». Hauts-potentiels, autistes, TDAH, “dys” et tous le […]

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Dans un article récent du journal La Montagne, Cédrine Jarlier, psychologue et psychothérapeute dans le Puy de Dôme, s’exprimait au sujet de la phobie scolaire et de la déscolarisation, parfois considérée comme […]

    • Val78 a répondu il y a 5 ans

      Bonjour, notre fils, aujourd’hui âgé de 19 ans, a montré des signes de phobie scolaire dès l’entrée en maternelle (régression et pleurs). Cette phobie s’est nettement amplifiée au fil du temps pour atteindre son plus haut niveau au collège puis au lycée. Une première déscolarisation totale durant 2 mois au troisième trimestre de la de 5ème (puis à mi-temps jusqu’à la fin de sa 5ème) a été indispensable. A cette époque, aucune scolarité parallèle n’a été mise en place car le pédopsychiatre a considéré qu’il était “en arrêt de travail”, qu’il avait besoin de repos total et surtout son niveau scolaire ne nécessitait pas de rattrapage de cours. Une nouvelle déscolarisation à mi-temps a été nécessaire au 3ème trimestre de la classe de première. Cette fois-ci, nous avons du mettre en place des cours de français pour préparer ses épreuves du bac. Enfin, en début de terminale, sa phobie a été tellement envahissante qu’il n’a pu la surmonter. Il a donc fait le choix de quitter le lycée dès le retour des vacances de la Toussaint et de préparer son bac via le Cned. Nous l’avons soutenu dans ce choix et avons mis en place, avec son adhésion, un accompagnement individualisé pour lui donner toutes les chances de réussir son bac (cours en centre de soutien, sophrologie), et surtout de réaliser son projet d’intégrer une école d’ingénieur. Cela a été un très bon choix pour lui puisqu’il a décroché son bac avec mention et a pu réaliser son projet. Aujourd’hui, il suit ses cours normalement même si les signes de la phobie n’ont pas complètement disparus. Il a appris à les reconnaître et les maîtriser. Je ne dirais pas que la déscolarisation est LA solution… elle l’a été pour mon fils dans un environnement qui ne proposait pas d’autres alternatives. Plutôt que d’être fataliste et pessimiste, la souffrance de notre fils était telle que nous avons choisi d’accueillir cette solution et d’accompagner notre enfant dans son choix. Bon courage à tous les parents et enfants dans une situation similaire ! Et surtout, faîtes confiance à votre enfant !

      • Claire a répondu il y a 5 ans

        Merci pour votre témoignage. Notre fille de 16 ans vit des choses similaires, même si elle a malgré tout réussi à reprendre les cours cette semaine (mais dimanche soir, ça n’était pas gagné !)
        Je suis admirative de la flexibilité que vous avez montré dans le parcours de votre fils. Cela me montre qu’il ne faut pas avoir peur des alternatives (et qu’elles existent !) et me fait réfléchir pour mon petit garçon de 8 ans (voir mon commentaire plus bas). Merci beaucoup.

        • Je suis da s la même position…. Fils précoce… En avance sur tout… Très mâture qui malgré tout ça a 17 ans vit dans son appartement…. Avec un travail et une amie…. Mais chaque semaine au cfa est un véritable calvaire.. Pour lui….. Ey pour moi évidemment qui doit accompagner… Pousser…. Subir…. Et ne pas savoir quoi faire… Au final nous pensons abandonner…. Le laisser travailler et croiser les doigts pour qu’il reprenne une section pro dans 12 mois à 18 ans.. Que fait on au cfa en attendant ? On le pousse dehors car il est trop passif…. Personne pour l’accompagner ou l’aider… Je desespere….

    • Véro69 a répondu il y a 5 ans

      Bonjour,
      Je pense que la descolarisation est nécessaire pour faire une pause quand la souffrance devient dangereuse pour l’enfant et la famille. Il est important que l’enfant est un accompagnement en même temps, pour pouvoir avancer et aussi pour ne pas avoir de problème de signalements qui ne sont pas forcément justifiés et sont un parcours éprouvant. Dans notre cas, enfant HP inadapté au Système de l’éducation Nationale (il a fallu du temps pour comprendre sans culpabilité), Il y a eu plusieurs descolarisation totale et partielle. Et finalement depuis qu’il est dans une école avec une autre approche pédagogique sur un sujet qui le passionne et un but précis , il y arrive.

    • Le poids de la différence avait complètement refermé ma fille, depuis nous avons choisi une scolarisation dans une structure alternative, qui fonctionne à partir du projet personnel de chaque élève, où la ma fille reprend pied et recommence à avoir envie d’apprendre, et d’échanger avec d’autres.

    • Gaëlle a répondu il y a 5 ans

      Nous aussi sommes confrontés à la phobie scolaire d’un de nos enfants HP. La descolarisation a été inévitable tant la souffrance est grande chez l’enfant et les crises de panique insurmontables. Il n’y a dans ce cas, pas d’autre solution que d’arrêter la situation de souffrance extrême, autrement dit, l’école.
      Nos enfants HP ont un profil particulier, c’est certain, mais je me pose beaucoup de questions sur l’origine de cette phobie scolaire et me demande pourquoi l’école est un tel lieu de souffrance. J’en viens à penser que l’école telle qu’elle est conçu en France est elle-même la cause de ces malheurs : programmes insipides, sous alimentation intellectuelle, approche abstraite, uniformité de pensée et de façon de travailler…
      Pour certains enfants, cela n’est tout simplement pas possible. Cela leur fait trop violence.
      Nous avons donc fait l’école à la maison pendant 10 mois pour finir le CM2. Pas facile à vivre pour la maman mais énorme soulagement pour mon fils qui a recommencé à vivre.
      Cette année, il ne va que 3h par semaine en cours particulier au collège en classe précoce (à Rennes). Il n’y rencontre pas les élèves (encore impossible) mais réapprivoise doucement le fait d’être avec un prof. Je sais que ce sera long et incertain. Tout l’enjeu est de refaire confiance…

    • Claire a répondu il y a 5 ans

      Bonjour,
      Nous connaissons la phobie scolaire pour deux de nos 6 enfants : ma fille aînée, 2e de la fratrie, et mon avant dernier. Ils ont respectivement 16 et 8 ans.
      Pour notre fille, l’école a toujours été un problème. Elle y était mal, depuis toujours. Arrivée au collège, elle a pris sur elle jusqu’à ne plus tenir en 4e. Elle a explosée un soir de janvier, en rentrant de cours : crise de larmes, suffocation, tremblements… c’était impressionnant. Cela a duré jusqu’à minuit, et elle s’est calmée quand nous lui avons dit qu’elle n’était pas obligée de retourner au collège le lendemain. Pour faire vite ensuite : elle a commencé une scolarité partagée avec 3 matières au collège dans une classe de 3e, et le reste à la maison. Elle a donc fait sa 4e et sa 3e entre janvier et juillet, puis a réintégré le lycée en 2nde (c’est le même établissement), avec une rechute en avril, mais un retour fin mai. Son année de 1ere a été difficile au début, puis de mieux en mieux grâce à une thérapie, et étant dans une filière qui lui convient magnifiquement. Aujourd’hui, elle est en terminale L. Elle va plutôt bien, cependant la fragilité est là et elle a failli ne pas reprendre après les vacances de la Toussaint (c’est à dire hier !). Elle a un stress énorme pour les tests communs, le bac, et encore plus avec ParcourSup ! Pour le moment, elle ne veut rien faire l’année prochaine, elle ne veut plus entendre parler d’école, alors que ses profs la poussent à faire une prépa littéraire, puisqu’elle est brillante (ils n’ont rien compris en fait !). Nous lui ouvrons des portes en lui disant que si c’est trop dur, il y a toujours des solutions. Et hors de question de la pousser vers la prépa !
      Pour notre petit garçon, c’est une autre histoire, qui n’est pas terminée. Il est malheureux à l’école depuis la PS, a sauté la GS, mais cela n’a pas suffit à l’apaiser. Il est actuellement en CM1, et si je regarde les 3 dernières années, je peux compter les semaines où il est allé à l’école normalement. Cette année, il n’y en a eu que 2 pour le moment. Presque tous les jours, il se débat pour aller à l’école. Arrivés devant la porte de sa classe, il s’accroche à moi de toutes ses forces. La maîtresse le prend, le tire dans la classe alors qu’il se débat toujours. Quand il me lâche, elle ferme la porte à clé et l’emmène sur sa chaise. Moi je repars toute tremblante et je pleure d’avoir laissé mon petit garçon dans cet état à l’école. Pourquoi est-ce que je fais ça ? Je n’arrive pas à faire le pas de la déscolarisation. Pourtant, j’ai l’impression que nous allons devoir y aller. Mais j’ai l’impression de lui retirer le seul lieu où il peut se sociabiliser… bien qu’il ait très peu de copains à l’école… Cet après-midi, j’ai lâché prise. Il n’est pas allé à l’école. Je ne peux plus le laisser dans cet état.
      Cela me fait du bien de lire les témoignages ci-dessus, particulièrement des parents qui ont du recul avec des enfants passés aux études. J’espère que nous allons trouver une solution pour mon petit bonhomme, qui adore apprendre, mais ne supporte plus l’école.

    • Bonsoir,
      3 ans après, je me permets de vous demander où en est votre fils. J’ai eu l’impression de me lire lorsque j’ai lu votre témoignage. Cela parlait exactement de notre fille. Aujourd’hui, nous nous posons les mêmes questions que vous vous posiez à l’époque : à quel moment faut-il se décider à la déscolarisation ? est-ce utile “d’insister” pour que l’enfant aille à l’école tant qu’il ne s’en rend pas “malade” ? La décision me semble très difficile à prendre. Votre témoignage serait donc très intéressant. Je vous remercie

    • Bonjour à tous !
      Je me tourne vers vous afin d’avoir des conseils car je me sens complètement desemparée.
      Ma fille a 8 ans. Elle est entrée en maternelle (TPS) en cours d’année à 2 ans et demi après une année et demie de crèche où elle commençait à s’ennuyer. La déposer à l’école à toujours été problématique, elle s’accrochait à moi, hurlait … c’était déjà extrêmement difficile pour moi de la laisser comme ça chaque matin. Elle a ensuite fait une PS au cours de laquelle sa maîtresse, voyant qu’elle commençait à écrire, a décidé de lui faire sauter la MS. Elle est donc entrée en GS l’année suivante. La séparation le matin était toujours difficile mais comme elle s’ennuyait moins, il y avait quand même quelques jours de répit de temps en temps.
      J’ajoute à cela qu’elle a toujours éprouvé beaucoup de mal à aller se coucher et a s’endormir, trouvant que le sommeil était une perte de temps et qu’elle “s’ennuyait” pendant la nuit.
      J’ai eu de gros soucis de santé à plusieurs reprises depuis ses 1 an, son papa et moi nous sommes separés quand elle avait 18 mois (nous nous entendons très bien aujourd’hui) et je me doute que cela a dû fortement l’impacter.
      Elle est entré en suite en CP/CE1, en sachant déjà lire, écrire et compter… elle s’ennuyait maisavait sa petite bande de copines et surtout un petit amoureux charmant, ils étaient inséparables, c’était super mignon ! Elle avait trouvé une sorte d’équilibre et prenait enfin plaisir à aller à l’école et s’éclatait dans ses activités extra-scolaires.
      Cette année, en CE2, le retour à l’école d’un petit garçon qu’elle avait connu par le passé à tout balayé … elle a voulu l’aider à s’intégrer mais lui étant très possessif, et elle ne voulant pas le blesser, elle a fini par se fâcher avec ses copines et son amoureux. Les problèmes pour la déposer à l’école sont revenus. Elle a exprimé le de prendre le ramassage scolaire, ce qui a été un solution miracle jusqu’à la semaine dernière. En quelques jours tout à basculé !
      Elle passait une semaine sur deux chez son père, elle ne veut plus y aller. Des crises d’angoisse le soir, la panique pour rentrer dans le bus le matin (c’est encore pire si je la dépose directement à l’école!). Elle dit que ça ne sert à rien qu’elle y aille car elle n’apprend rien et appréhende chaque jour de voir les autres. Tout le monde lui fait peur et elle ne se sent pas en sécurité…
      Elle est en cours de bilan neuropsychologique, j’ai eu rdv avec le directeur et la maîtresse qui me disent de tenir bon et de ne pas la déscolariser car elle risque de ne plus jamais vouloir aller a l’école. Ils me disent également de l’emmener voir un pédopsychiatre.
      Aujourd’hui, troisième séance avec la psychologue, elle était épuisée de son début de semaine catastrophique. Pour couronner le tout, elle devait se faire arracher 2 dents de lait cette après-midi, on a du abandonner après 40 min de panique sur la chaise du dentiste, elle était incapable de gérer ses émotions bien qu’elle savait ce que c’était, elle avait déjà du passer par là il l’année dernière et tout s’était bien passé !
      Son papa et moi nous sommes dit qu’elle avait besoin de repos et avons donc décidé que je la garderai à la maison ces 2 prochains jours pour qu’elle puisse se reposer plus sereinement. Seulement elle a quand même fait une crise d’angoisse et à mis plus de 2h à s’endormir à l’idée de retourner à l’école lundi…
      Nous avons rdv samedi son père et moi avec la psychologue pour qu’elle nous aide car, n’ayant certes pas encore les résultats complets du bilan, oui notre fille est bien à haut potentiel et nécessite une approche particulière.
      Je ne peux plus supporter de la voir dans cet état a chaque évocation de l’école. Elle aime travailler mais l’idée de se séparer de moi et de s’ennuyer la terrifie. Tout devient source de stress !
      Voilà, je vais m’arrêter là, désolée pour le pavé et merci pour votre attention. J’ai hâte de trouver des solutions pour l’apaiser et l’aider à évoluer au mieux afin qu’elle puisse s’épanouir.
      Vos avis et conseils seront précieux

      • Bonjour,

        Vous faites bien de vous entourer de professionnels et de faire procéder à un bilan neuropsychologique. Les conclusions devraient vous aider à aller de l’avant. Dans le haut potentiel il y a aussi une part de “sensibilité” très importante, c’est à dire une grande intensité dans les perceptions affectives et émotionnelles. Les décalages que peut vivre et ressentir votre fille peuvent donc avoir des répercussions sur ses apprentissages mais aussi sur ses relations sociales et sa relation aux autres. Je vous suggère de parler avec le neuropsychologue de ses angoisses, il pourrait y avoir un travail à faire à ce sujet. Par ailleurs un enfant hp qui vit et ressent les choses de façon très intense a besoin d’un environnement apaisé, dans la mesure du possible. J’ai l’impression en vous lisant que votre fille souffre de sa relation avec le petit garçon de retour, qui par ailleurs a nui à ses amitiés avec les autres. Elle pourrait en être très déstabilisée car cela représentait comme vous le dites son “équilbre”, qu’elle ne trouve pas sur le plan intellectuel. Or si tout s’effondre, je comprends qu’elle puisse aller mal. Je rajoute qu’un enfant à haut potentiel et hypersensible doit apprendre à se détacher pour ne pas prendre à cœur tous les problèmes des autres. A l’issue du bilan, il sera bénéfique pour votre fille que le professionnel puisse lui parler de ses forces, faiblesses, et de cette intensité qui la distingue des autres et avec laquelle il faut apprendre à composer, avec l’aide des adultes. Vous aussi comprendrez mieux votre fille à l’issue du bilan en cours, n’hésitez pas à évoquer toutes ces questions avec le neuropsychologue et s’il faut envisager un suivi (pédopsy), veillez à ce que ce soit en lien avec le haut potentiel.

        • Merci beaucoup pour votre réponse !
          Oui nous attendons le résultat du bilan avec impatience, et nous rencontrons la neuropsychologue demain sans notre fille pour qu’elle nous donne des conseils.
          Ne pas aller à l’école ces 2 derniers jours lui a fait du bien, elle est plus apaisée et a pu se reposer. Nous verrons comment elle gère l’idée de reprendre l’école lundi ce we… et si elle ne se sent pas je la garderai à la maison !
          Nous allons y aller pas à pas, l’important étant de limiter le stress et favoriser son sommeil !
          Merci encore

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Une émission récente de Radio Notre Dame était consacrée aux enfants à haut potentiel, en compagnie du Dr Gabriel Wahl, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent, auteur de “Les enfants intellectuellement préc […]

    • Mon fils âgé de 18 ans a été testé petit (école maternelle) et a 2 ans d’avance en ce qui concerne sa scolarité (dernière année licence maths fondamentales). Sa scolarité se passe sans soucis, mais je m’inquiète de sa quasi absence de relations sociales (1 ami avéré mais qu’il voit peu, beaucoup de contacts par SMS). Il ne cherche pas à nouer de relations en dehors de la Fac. Je vis seule avec lui (la Fac est à côté) et ne sais comment préparer l’avenir à son sujet en terme d’autonomie…

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Si tous les enfants surdoués ne sont pas hypersensibles, cette particularité est très souvent mise en avant par les parents qui ne savent pas toujours comment réagir face aux débordements émotionnels de leurs […]

    • Ana Is a répondu il y a 5 ans

      Merci pour ce lien, il est d’une grande aide, mais je m’interroge sur le côté “il faut prendre son mal en patience et l’attendre”. Certains conseils me paraissent impossibles à appliquer en cas de fratrie.

    • Bonjour,

      Le plus efficace est de le faire en privé auprès d’un psychologue compétent.
      S’il n’y a paas d’urgence pour vous, je vous conseillerais d’attendre les 6 ans pour pouvoir passer un WISC V qui sera plus révélateur et plus complet qu’un test pour enfants plus jeunes.

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Sur les bords du Saint-Laurent, cette initiative encourageante a été prise par deux enseignants, Karine Couture et Mélanie Chénard, désireuses de procurer des sources de motivation et d’épanouissement suppl […]

    • may a répondu il y a 5 ans

      Ma fille de 7ans vient de sauter son CE1 § Tout va très bien en CE2 (elle a d’excellents résultats et des amis ! elle est épanouie mais sa maitresse s’arrache les cheveux car elle est à la traîne pour écrire et vit dans son monde ? on l’attend pour tout. Quelle stratégie pourrions nous mettre en classe pour la rendre plus autonome ?

      • Bonjour May,

        Il se peut que malgré le saut de classe, les exercices écrits proposés ne présentent pas plus de difficultés que ça pour votre fille et donc la répétition est source de lenteur.
        Pour le vérifier il faudrait lui proposer des exercices enrichis, pur voir si cela fait une différence.
        Vérifier aussi qu’il n’y ait pas problème de graphisme pur tenue du stylo, crispation…

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans

    Le résultat ne s’est pas fait attendre. Les parents de la petite Alice sont surdoués tous les deux, comme leur petite fille. C’est une chose courante, l’héritabilité du QI étant très forte, plus que celle de la […]

    • csmiley a répondu il y a 5 ans

      j’ai exactement ressenti la même chose en me reniegnant sur la douance pour mon fils ainé, c’est là que j’ai compris que finalement cette sensation d’être différente est bien réel…

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    Peut-être avez-vous déjà eu la curiosité de connaître votre QI (quotient intellectuel). En répondant à des tests sur Internet, ou en voyant un psychologue homologué. Des méthodes aussi prisées par les parents q […]

    • Merci pour cette retranscription !

    • Awalie a répondu il y a 5 ans

      Merci pour cette retranscription.
      Je dois bien avouer que j’ai également été agacée par les propos tenus par le “spécialiste”… nier les difficultés que rencontrent une grande partie des HP dans notre société actuelle est un comble pour qui il est impossible d’ignorer qu’un haut potentiel implique un ressenti exacerbé des émotions, une logique ou manière de penser différente de la “norme”.

    • Bonjour,
      De même, un peu choquée par l’obstination et l’étroitesse de la pensée de ce monsieur.
      Si l’on applique sa logique à une autre domaine, on serait amené à dire que la cécité et le diabète n’ont absolument aucun lien puisqu’il existe au sein de la population des personnes aveugles et non diabétiques
      On ne marcherait pas un peu sur la tête?!
      Personnellement, je trouve que ce discours manque de cohérence. On ne peut pas dire que les troubles, ô combien récurrents, repérés chez certains (de nombreux?) enfants précoces ne sont pas liés à leur précocité, simplement parce qu’il existe des enfants non précoces avec ces mêmes types de troubles.
      Pour moi, l’argument n’est pas valable.

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    Vous êtes nombreux à souhaiter que les associations organisent des conférences près de chez vous. Nous annonçons toutes celles qui sont portées à notre connaissance sur le calendrier d’Enfants Précoces Info ma […]

  • Bonjour Leya38,

    Je pense qu’il faut aborder le sujet avec les raisons qui vont ont amenée à lui faire passer les tests, par exemple : “nous voulions comprendre pourquoi ceci et cela. Et sinon lui parler de sa différence quand l’occasion se présente, en expliquant : “là tu raisonnes autrement, tu t’intéresses à ceci et cela etc…” mais en lui fa…En afficher davantage

  • Olivier a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    La dyspraxie fait partie de la famille des troubles DYS au même titre, par exemple, que la dyslexie ou la dysorthographie. Elle peut affecter les enfant à haut potentiel comme tout autre enfant. On parle alors d […]

    • Bonjour, et la dysphasie? Je n’en ai pas trouvé lecture pourtant… détecté chez l’orthophoniste, arrêté à Garches à l’hopital Raymond Poincarré de Garches au groupe TSL, et la précocité ayant compensée. Complexité à expliquer, à comprendre et surtout à aider mon enfant.

      • Bonjour,

        En effet, je viens de lire tout un dossier à ce sujet suite à votre message, ici : https://www.dys-positif.fr/la-prise-en-charge-du-trouble-de-la-parole-au-secondaire-ulis-segpa/
        et ce trouble semble bien difficile à déceler et surtout à accompagner.
        Dans les descriptions il est bien dit qu’il s’agit d’un trouble du langage handicapant : il est important pour votre fils je pense de faire reconnaître qu’il a une réelle difficulté dont il n’est pas responsable, il ne doit pas se sentir fautif.

        Avez-vous pensé à vous tournr vers une association specifique telle que celle ci :http://dysphasie.org ?
        La question me turlupine, en particulier la possibilité que ce trouble soit réellement masqué en cas de haut voire très haut potentiel et puisse ne pas être décelé lors du passage d’un test de Qi ?

    • Bonjour mameve,
      Je suis désolée si mon message vous a troublée, je me rends compte que j’ ai été involontairement doublement maladroite :
      – j etais sur la page prise en charge du site dys, sans penser toutefois que la solution est la classe ulis ou segpa. C etait pour vous donner le lien de l ensemble du site, que vous connaissez sans doute par ailleurs.
      – ensuite je m’ interroge oui car j’ai ramené vos questions au cas de l’un des miens. Il se trouve qu il est très hp avec des similitudes comportementales depuis assez jeune aussi sur certains éléments présentés en cas de dysphasie. Nous avons aussi évoqué la possibilité d’une forme, légère, d autisme, et la psychologue nous a dit qu à ce niveau il compense énormément donc difficile à constater.
      Tout ceci pour dire, et rejoindre le commentaire précédent, que ce sont des particularités difficiles à comprendre et à accompagner car ils ne sont doublement pas dans le moule.
      Comme soutien je pense aux associations, qui auront sans doute d’autres pistes.
      Pour revenir à votre fils, s’il parvient à se former autrement et avec du matériel adapté (ordi, reportages…), il reste la solution de la scolarité à domicile, mais il faudrait réfléchir à sa faisabilité, à envisager comme un temps de pause ?
      Je pense qu’il serait bien que vous évoquiez son cas quand même au sein de son établissement, demander une équipe educative et l’intervention du référent “élève à haut potentiel” pour mettre quelque chose en place qui tienne compte des 2 aspects de sa personnalité. Il a très certainement besoin d’ être compris et encouragé avec ses difficultés et avec ses facilités.

    • merci

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