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Bonjour. Mon fils vient tout juste d’avoir 4 ans. Nous rencontrons les mêmes difficultés. Je me suis “battue” pour qu’il soit testé car depuis ses 18 mois, la crèche nous parlait de consulter un pédopsychiatre, qu’ils étaient démunis face à son comportement. Depuis nous avons qu’il a 2 ans nous vivons au Royaume Uni mais la problématique est toujours là même : 3 crèches et aucune intégration de mon fils qui a un comportement agressif, qui pertube le groupe. Nous avions consulté en France une pédopsychiatre qui a émis la précocité ce dont nous avions peu de doute mais même discours : il est trop petit. Or ici l’école est à 5 ans et j’étais très inquiète que lors de notre retour en France, pour le CP il n’ait pas les mêmes aptitudes sociales que sed camarades qui auraient déjà eu 3 ans de maternelle en grand groupe. A la crèche c’était convocation sur convocations. Mon fils était soi disant autiste. Ou après seulement mal éduqué. Etc. Un calvaire en tant que parents. Il s’est fait exclure de sa dernière crèche.. Nous étions épuisés que personne ne nous aide pour que mon fils se sente mieux en collectivité. Finalement cet été nous avons trouvé en Haute-Savoie, notre région d’origine, une neuropsy spécialiste du Haut Potentiel. Elle a accepté de lui faire passer les tests malgré son âge, et ainsi clairement confirmé sa précocité. Mais surtout elle nous a donné 1000 conseils très adaptés à son profil. En tout cas il en ressort que si lz collectivité ne lui convient pas (car il s’ennuie et cherche en permanence l’attention des adultes + langue anglaise qui ne favorise pas les discussions avec les copains = énorme frustration) il ne faut pas le forcer… Donc nous allons tenter une nouvelle crèche et si cela ne fonctionne pas, nous n’insiterons pas. En France, nous nois sommes renseignés pour des écoles spécialisées, en petit groupe. Ou une première année avec si besoin une personne avec lui (mais très honnêtement je ne connais pas encore le système scolaire français mais je ne me fait pas trop d’illusion). Mon conseil serait de ne pas lâcher face aux professionnels et d’insister pour pouvoir avoir les tests et donc potentiellement les aides nécessaires pour que votre fils se sente bien.